Après des mois d’attente, l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) a finalement publié (le 25 juillet) la liste des candidats autorisés à concourir à l’élection présidentielle algérienne. L’actuel chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, y affrontera Youcef Aouchiche, secrétaire général du Front des forces socialistes (FFS) (parti de centre-gauche et laïc, fondé par Hocine Aït Ahmed), et Abdelali Hassani Cherif, président du Mouvement de la société pour la paix (MSP, islamiste).
Applications empêchées
Treize candidats, souvent peu connus du grand public, ont été disqualifiés. La plupart ont été recalés pour n’avoir pas réussi à recueillir le nombre de parrainages requis par la loi électorale. La collecte de signatures est souvent un véritable casse-tête pour les candidats. Ils doivent recueillir celles de 600 élus, soit 50 000 électeurs, répartis équitablement dans 29 wilayas (départements).
Naim Khemmar, militant de l’Union pour le changement et le progrès (UCP), a expliqué : « Les citoyens craignent des représailles s’ils signent pour un candidat de l’opposition, d’autant plus que la signature est désormais numérique. » Autre candidate recalée, Saïda Neghza, présidente de la Confédération générale
Après des mois d’attente, l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) a finalement publié (le 25 juillet) la liste des candidats autorisés à concourir à l’élection présidentielle algérienne. L’actuel chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, y affrontera Youcef Aouchiche, secrétaire général du Front des forces socialistes (FFS) (parti de centre-gauche et laïc, fondé par Hocine Aït Ahmed), et Abdelali Hassani Cherif, président du Mouvement de la société pour la paix (MSP, islamiste).
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Treize candidats, souvent peu connus du grand public, ont été disqualifiés. La plupart ont été recalés pour n’avoir pas réussi à recueillir le nombre de parrainages requis par la loi électorale. La collecte de signatures est souvent un véritable casse-tête pour les candidats. Ils doivent recueillir celles de 600 élus, soit 50 000 électeurs, répartis équitablement dans 29 wilayas (départements).
Naim Khemmar, militant de l’Union pour le changement et le progrès (UCP), a expliqué : « Les citoyens craignent des représailles s’ils signent pour un candidat de l’opposition, d’autant plus que la signature est désormais numérique. » Autre candidate recalée, Saïda Neghza, présidente de la Confédération générale