« La finale de cĂ©cifoot entre la France et l’Argentine a-t-elle Ă©tĂ© Ă la hauteur du triomphe de ces Jeux Paralympiques ? »trois fois “Oui !”s’enthousiasme le quotidien britannique Le Gardien.
Les Bleus ont marquĂ© l’histoire paralympique samedi soir en dĂ©crochant pour la première fois l’or face aux Argentins (1-1, 3-2 aux tirs au but) dans une ambiance surchauffĂ©e au pied de la tour Eiffel. Depuis l’entrĂ©e de la discipline aux Jeux paralympiques en 2004 Ă Athènes, tous les titres avaient Ă©tĂ© remportĂ©s par le BrĂ©sil.
A Paris, tous les paramètres semblaient rĂ©unis pour offrir aux spectateurs une finale exceptionnelle, note le Tuteur :la Marseillaise Ă©tait “entraĂ®nant”le ciel a « rougit docilement comme prĂ©vu derrière le stade de la Tour Eiffel »là « pluie de l’après-midi » arrĂŞtĂ© Ă temps, le stade Ă©tait plein de fans chantant Ă tue-tĂŞte, et la Tour Eiffel « illuminĂ©e comme une dĂ©esse dorĂ©e derrière le stade la nuit »offrant aux spectateurs ce qui Ă©tait sans aucun doute « le plus beau dĂ©cor de football du monde »Avec tout cela, « La victoire 3-2 de la France aux tirs au but, c’Ă©tait un peu la cerise sur le gâteau » de cette finale, le quotidien est amusĂ©.
Les Argentins « à deux pas de la médaille d’or »
Les MurciĂ©lagos (les chauves-souris, surnom de l’Ă©quipe argentine) Ă©taient nĂ©anmoins « Ă€ deux pas de la mĂ©daille d’or »souligne le quotidien argentin Page/12.
Face Ă une Ă©quipe argentine aussi menaçante que les nuages ​​noirs qui s’amoncelaient sur le stade au fil de la rencontre, les Bleus ont Ă©tĂ© les premiers Ă faire la diffĂ©rence, grâce Ă FrĂ©dĂ©ric Villeroux. Après un dĂ©but de match serrĂ©, le Girondin a remontĂ© le terrain balle au pied, Ă©liminant les dĂ©fenseurs devant lui et trompant le gardien d’une frappe soudaine Ă ras de terre. Mais la joie française a Ă©tĂ© de courte durĂ©e puisque les Argentins ont Ă©galisĂ© sept secondes plus tard grâce Ă Maximiliano Espinillo (12e).
Les deux Ă©quipes n’ont pas rĂ©ussi Ă se dĂ©partager dans les 30 minutes du temps rĂ©glementaire et ont dĂ» jouer aux tirs au but. Lors d’un match de football pour aveugles, le guide de chaque Ă©quipe frappe les poteaux mĂ©talliques de chaque cĂ´tĂ© du but pour permettre au tireur de voir la cage.
L’Argentine avait initialement l’avantage psychologique après avoir Ă©liminĂ© le gĂ©ant brĂ©silien en demi-finale aux tirs aux but. Mais c’est finalement le capitaine des Bleus FrĂ©dĂ©ric Villeroux qui a fait exploser de joie le public français avec son penalty dĂ©cisif, quelques secondes seulement après l’arrĂŞt crucial de son coĂ©quipier Alessandro Bartolomucci face Ă l’Argentin Nahuel Heredia.
« Donc les Français avaient tout Ă©crit Ă l’avance ? » pose la question Tuteur qui rappelle que les champions d’Europe en titre ont remportĂ© cette victoire le dernier samedi des Jeux paralympiques, qui se terminent dimanche, et qui plus est devant la Tour Eiffel. « Bien sĂ»r qu’ils l’ont fait »conclut le quotidien. « Et c’Ă©tait magique. »
« La finale de cĂ©cifoot entre la France et l’Argentine a-t-elle Ă©tĂ© Ă la hauteur du triomphe de ces Jeux Paralympiques ? »trois fois “Oui !”s’enthousiasme le quotidien britannique Le Gardien.
Les Bleus ont marquĂ© l’histoire paralympique samedi soir en dĂ©crochant pour la première fois l’or face aux Argentins (1-1, 3-2 aux tirs au but) dans une ambiance surchauffĂ©e au pied de la tour Eiffel. Depuis l’entrĂ©e de la discipline aux Jeux paralympiques en 2004 Ă Athènes, tous les titres avaient Ă©tĂ© remportĂ©s par le BrĂ©sil.
A Paris, tous les paramètres semblaient rĂ©unis pour offrir aux spectateurs une finale exceptionnelle, note le Tuteur :la Marseillaise Ă©tait “entraĂ®nant”le ciel a « rougit docilement comme prĂ©vu derrière le stade de la Tour Eiffel »là « pluie de l’après-midi » arrĂŞtĂ© Ă temps, le stade Ă©tait plein de fans chantant Ă tue-tĂŞte, et la Tour Eiffel « illuminĂ©e comme une dĂ©esse dorĂ©e derrière le stade la nuit »offrant aux spectateurs ce qui Ă©tait sans aucun doute « le plus beau dĂ©cor de football du monde »Avec tout cela, « La victoire 3-2 de la France aux tirs au but, c’Ă©tait un peu la cerise sur le gâteau » de cette finale, le quotidien est amusĂ©.
Les Argentins « à deux pas de la médaille d’or »
Les MurciĂ©lagos (les chauves-souris, surnom de l’Ă©quipe argentine) Ă©taient nĂ©anmoins « Ă€ deux pas de la mĂ©daille d’or »souligne le quotidien argentin Page/12.
Face Ă une Ă©quipe argentine aussi menaçante que les nuages ​​noirs qui s’amoncelaient sur le stade au fil de la rencontre, les Bleus ont Ă©tĂ© les premiers Ă faire la diffĂ©rence, grâce Ă FrĂ©dĂ©ric Villeroux. Après un dĂ©but de match serrĂ©, le Girondin a remontĂ© le terrain balle au pied, Ă©liminant les dĂ©fenseurs devant lui et trompant le gardien d’une frappe soudaine Ă ras de terre. Mais la joie française a Ă©tĂ© de courte durĂ©e puisque les Argentins ont Ă©galisĂ© sept secondes plus tard grâce Ă Maximiliano Espinillo (12e).
Les deux Ă©quipes n’ont pas rĂ©ussi Ă se dĂ©partager dans les 30 minutes du temps rĂ©glementaire et ont dĂ» jouer aux tirs au but. Lors d’un match de football pour aveugles, le guide de chaque Ă©quipe frappe les poteaux mĂ©talliques de chaque cĂ´tĂ© du but pour permettre au tireur de voir la cage.
L’Argentine avait initialement l’avantage psychologique après avoir Ă©liminĂ© le gĂ©ant brĂ©silien en demi-finale aux tirs aux but. Mais c’est finalement le capitaine des Bleus FrĂ©dĂ©ric Villeroux qui a fait exploser de joie le public français avec son penalty dĂ©cisif, quelques secondes seulement après l’arrĂŞt crucial de son coĂ©quipier Alessandro Bartolomucci face Ă l’Argentin Nahuel Heredia.
« Donc les Français avaient tout Ă©crit Ă l’avance ? » pose la question Tuteur qui rappelle que les champions d’Europe en titre ont remportĂ© cette victoire le dernier samedi des Jeux paralympiques, qui se terminent dimanche, et qui plus est devant la Tour Eiffel. « Bien sĂ»r qu’ils l’ont fait »conclut le quotidien. « Et c’Ă©tait magique. »