Depuis que sa mère publie ses œuvres sur Instagram, l’Allemand Laurent Schwarz est un phénomène, assure-t-il Le miroir. Et pas seulement en Bavière, où il vit avec sa famille. Ses tableaux sont achetés au Royaume-Uni, aux Bahamas, aux États-Unis. Récemment, il a reçu une offre de 325 000 dollars (environ 293 000 euros) pour un tableau. Sauf que même s’il comprend la valeur de l’argent, le jeune peintre « Je ne pouvais pas dire ce montant à voix haute ». Après tout, il n’a que trois ans et « Il porte encore des couches ».
« Enfant prodige », « mini Picasso »…la presse allemande et internationale s’est fait l’écho ces derniers mois des succès de ce Bavarois, issu d’une famille d’industriels de la ville de Rosenheim, dans le sud de l’Allemagne. « ce battage médiatique » a également relancé les débats sur la manière dont sont perçues les créations des enfants et sur la définition même de l’art, explique l’hebdomadaire hambourgeois. Il pose la question :
« Est-ce que ce gars a vraiment du talent, ou est-il simplement promu (sur les réseaux sociaux) comme ayant beaucoup de talent ? »
« Pour l’instant, Laurent est avant tout une marque »répond sans détour sa mère, Lisa Schwarz. Ses tableaux se vendent avant tout grâce à sa célébrité.
Depuis que sa mère publie ses œuvres sur Instagram, l’Allemand Laurent Schwarz est un phénomène, assure-t-il Le miroir. Et pas seulement en Bavière, où il vit avec sa famille. Ses tableaux sont achetés au Royaume-Uni, aux Bahamas, aux États-Unis. Récemment, il a reçu une offre de 325 000 dollars (environ 293 000 euros) pour un tableau. Sauf que même s’il comprend la valeur de l’argent, le jeune peintre « Je ne pouvais pas dire ce montant à voix haute ». Après tout, il n’a que trois ans et « Il porte encore des couches ».
« Enfant prodige », « mini Picasso »…la presse allemande et internationale s’est fait l’écho ces derniers mois des succès de ce Bavarois, issu d’une famille d’industriels de la ville de Rosenheim, dans le sud de l’Allemagne. « ce battage médiatique » a également relancé les débats sur la manière dont sont perçues les créations des enfants et sur la définition même de l’art, explique l’hebdomadaire hambourgeois. Il pose la question :
« Est-ce que ce gars a vraiment du talent, ou est-il simplement promu (sur les réseaux sociaux) comme ayant beaucoup de talent ? »
« Pour l’instant, Laurent est avant tout une marque »répond sans détour sa mère, Lisa Schwarz. Ses tableaux se vendent avant tout grâce à sa célébrité.