PARIS – “ Sciences Po complice, assassin d’Israël ! » Un slogan scandé par une foule d’étudiants, tapant du pied dans le grand hall d’entrée de Sciences Po. Ce jeudi 25 avril, ils étaient nombreux à se rassembler sur le campus historique de la prestigieuse université pour interpeller leur administration sur la Palestine, comme vous pouvez le voir dans notre rapport ci-dessus.
La veille, ils étaient déjà une centaine à se rassembler dans une cour intérieure du campus. Tout comme les étudiants américains pro-palestiniens mobilisés à l’université de Columbia, ils y avaient planté une dizaine de tentes avant d’en être délogés par la police dans la soirée. Un évènement ” traumatique » pour les étudiants, dont certains ont été traînés à terre, mais ce qui ne les a pas empêchés de revenir en force ce jeudi midi.
” Nous ne nous arrêterons que lorsque la loi sera respectée en Palestine », dit Hicham dans son mégaphone. Sous les applaudissements de ses camarades, l’étudiant en master de droit humain énumère plusieurs revendications. Parmi eux, un enquête sur les partenariats universitaires et économiques soutenant le génocide en cours à Gaza “, ainsi que l’arrêt immédiat des procédures disciplinaires contre les étudiants mobilisés pour les droits des Palestiniens.
Sous les yeux des agents de sécurité, les étudiants rassemblés ainsi que les membres du corps professoral présents pour les soutenir se sont alors assis au milieu de l’entrée, drapeaux palestiniens et keffieh à la main. ” Aujourd’hui, nous rentrons et nous ne repartirons que lorsque nos demandes seront écoutées. », a conclu Hicham avec le HuffPost.
Les grilles de l’école ont fermé vers 21 heures. Comme l’a constaté l’AFP, 80 étudiants étaient dans la rue, encourageant et apportant oreillers et nourriture à leurs camarades restés à l’intérieur des locaux après le vote d’une nouvelle occupation décidée en assemblée générale. Entre 50 et 70 étudiants auraient passé la nuit dans l’établissement.
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La veille, ils étaient déjà une centaine à se rassembler dans une cour intérieure du campus. Tout comme les étudiants américains pro-palestiniens mobilisés à l’université de Columbia, ils y avaient planté une dizaine de tentes avant d’en être délogés par la police dans la soirée. Un évènement ” traumatique » pour les étudiants, dont certains ont été traînés à terre, mais ce qui ne les a pas empêchés de revenir en force ce jeudi midi.
” Nous ne nous arrêterons que lorsque la loi sera respectée en Palestine », dit Hicham dans son mégaphone. Sous les applaudissements de ses camarades, l’étudiant en master de droit humain énumère plusieurs revendications. Parmi eux, un enquête sur les partenariats universitaires et économiques soutenant le génocide en cours à Gaza “, ainsi que l’arrêt immédiat des procédures disciplinaires contre les étudiants mobilisés pour les droits des Palestiniens.
Sous les yeux des agents de sécurité, les étudiants rassemblés ainsi que les membres du corps professoral présents pour les soutenir se sont alors assis au milieu de l’entrée, drapeaux palestiniens et keffieh à la main. ” Aujourd’hui, nous rentrons et nous ne repartirons que lorsque nos demandes seront écoutées. », a conclu Hicham avec le HuffPost.
Les grilles de l’école ont fermé vers 21 heures. Comme l’a constaté l’AFP, 80 étudiants étaient dans la rue, encourageant et apportant oreillers et nourriture à leurs camarades restés à l’intérieur des locaux après le vote d’une nouvelle occupation décidée en assemblée générale. Entre 50 et 70 étudiants auraient passé la nuit dans l’établissement.
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