” Tul’un des plus beaux films de notre époque », selon Écran International. « Un quasi-chef-d’œuvre qui transcende le cinéma moderne », ajoute DiscussingFilm. Le Hollywood Reporter, Le brutaliste « n’est pas un classique en devenir, mais un classique déjà établi. »
N’en jetez plus ! Depuis ce week-end, la presse internationale ne tarit pas d’éloges Le brutalistePrésenté en compétition à la Mostra de Venise, où il a remporté le Lion d’argent du meilleur réalisateur, le film a été salué par une standing ovation de plus de 12 minutes après la projection par le public du deuxième festival de cinéma le plus influent au monde.
Sur les réseaux sociaux, où l’on crie déjà à la gloire du chef-d’œuvre, le bourdonner est monumental. Après Venise, au Festival international du film de Toronto (TIFF), c’est reparti. Le long métrage de Brady Corbet a été accueilli par des applaudissements incessants et une pluie d’éloges. Pour nos confrères de D’abord« C’est une œuvre colossale qui ne ressemble à rien de ce que nous avons vu jusqu’à présent. » « La course aux Oscars a déjà un favori », s’enthousiasme-t-il. Vogue. Mais pourquoi tant d’amour ?
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Raconter l’histoire de la reconstruction d’une nation
Tout au long de cette fresque de 3 heures 35 minutes, le cinéaste plonge dans trente années de la vie de Laszlo Toth (Adrien Brody), un architecte juif d’origine hongroise qui a survécu à la Shoah et qui a émigré aux États-Unis avec sa femme E (…) Lire la suite