Les négociations sur le Brexit menées par Michel Barnier ont certes laissé des traces outre-Manche. Mais si les Britanniques ont globalement retenu la fermeté et l’intransigeance de l’ancien député européen, les Irlandais ne sont pas du même avis. Décrits comme « grand ami de l’Irlande » par le Premier ministre de la République d’Irlande (Taoiseach), Simon Harris et« politicien habile, calme et expérimenté » par son vice-Premier ministre (Tánaiste), Michael Martin, Michel Barnier fait l’unanimité à Dublin.
Pour leLe Temps Irlandais, Le nouveau chef du gouvernement français est avant tout « l’ancien négociateur très affable et estimé de l’Union européenne (UE) pour le Brexit ». « (Son) engagement à maintenir un dialogue constant et rassurant » a permis à la communauté européenne de parvenir à un « unité de vues, avec la volonté d’avancer dans le bon ordre derrière leur négociateur ».
Conscient de la mission impossible qui lui a été confiée par Emmanuel Macron au vu des divisions à l’Assemblée nationale – « Un défi qui semble encore plus difficile à relever que les négociations sur le Brexit » – le quotidien europhile et de centre-gauche dublinois assure qu’il « entre en fonction avec la réputation d’être pragmatique, qui sait comment lancer
Les négociations sur le Brexit menées par Michel Barnier ont certes laissé des traces outre-Manche. Mais si les Britanniques ont globalement retenu la fermeté et l’intransigeance de l’ancien député européen, les Irlandais ne sont pas du même avis. Décrits comme « grand ami de l’Irlande » par le Premier ministre de la République d’Irlande (Taoiseach), Simon Harris et« politicien habile, calme et expérimenté » par son vice-Premier ministre (Tánaiste), Michael Martin, Michel Barnier fait l’unanimité à Dublin.
Pour leLe Temps Irlandais, Le nouveau chef du gouvernement français est avant tout « l’ancien négociateur très affable et estimé de l’Union européenne (UE) pour le Brexit ». « (Son) engagement à maintenir un dialogue constant et rassurant » a permis à la communauté européenne de parvenir à un « unité de vues, avec la volonté d’avancer dans le bon ordre derrière leur négociateur ».
Conscient de la mission impossible qui lui a été confiée par Emmanuel Macron au vu des divisions à l’Assemblée nationale – « Un défi qui semble encore plus difficile à relever que les négociations sur le Brexit » – le quotidien europhile et de centre-gauche dublinois assure qu’il « entre en fonction avec la réputation d’être pragmatique, qui sait comment lancer