ceCela aurait pu être un massacre. La tentative d’attentat contre la synagogue de La Grande-Motte aurait pu faire des dizaines de morts si le terroriste, ignorant et stupide, n’avait pas confondu les horaires du shabbat. Cet assaillant, emmitouflé jusqu’à la taille dans un drapeau palestinien, keffieh sur la tête et bouteilles d’essence à la main, fait partie de ces esprits chauffés à blanc par les incendiaires de la haine des juifs en France.
Caroline Yadan, députée de la Renaissance. © Isa Harsin/SipaLes braises que ces prêcheurs allument sans cesse trouvent leur source dans la rhétorique de propagande des islamistes, qu’ils adoptent sans réserve. Leur stratégie est claire : faire l’éloge des criminels lorsque ces assassins prétendent incarner un peuple opprimé ; appeler à l’impunité pour l’apologie du terrorisme lorsque celui-ci frappe le seul État d’Israël, invitant ainsi à agir tous les agresseurs potentiels des juifs à travers le monde.
À LIRE AUSSI Antisémitisme, les leçons de La Grande-MotteAu commencement était la parole. Il n’y a pas de violence sans pensée et sans paroles qui l’accompagnent. Pourtant, certains politiciens, médias ou intellectuels tentent aujourd’hui de nous imposer leur dialectique qui vise à légitimer un droit à la cruauté, en répétant sans cesse des contre-vérités, pour qu’elles se transforment en vérités, qu’il deviendra inutile de vérifier.
Le génocide ne dépend pas du nombre mais de l’intention.
C’est un piège grossier (…) Lire la suite