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Durée de la vidéo : 2 min
Un agent municipal de Grenoble, en Isère, a été abattu après avoir été témoin d’un accident de la route, dimanche 8 septembre.
A Grenoble (Isère), une centaine d’employés du service municipal de propreté urbaine ont rendu hommage à leur collègue décédé. Ils se sont rendus au carrefour où a eu lieu le drame, dimanche 8 septembre. Témoin d’un accident de la route, Lilian Dejean, 49 ans, a voulu intervenir et a été atteint de deux balles dans le thorax. Le tueur présumé serait le conducteur d’une voiture de grosse cylindrée qui a violemment percuté un autre véhicule par l’arrière.
Une cellule psychologique a été mise en place à la mairie. Le service public de la ville est meurtri. Une autre employée dénonce un quotidien marqué par des tensions toujours plus fortes. « Il s’est arrêté parce qu’il a vu un événement qui n’était pas acceptable. Il est intervenu et c’est ce que nous faisons tous. »“Nous sommes dans une situation délicate, mais nous ne sommes pas encore au courant”, assure Nadia Sahl, salariée et déléguée syndicale des Collectivités territoriales Sud. Devant la mairie, certains habitants se disent affectés et inquiets. Lundi midi, le chauffard, présumé meurtrier, n’a pas encore été appréhendé.
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Un agent municipal de Grenoble, en Isère, a été abattu après avoir été témoin d’un accident de la route, dimanche 8 septembre.
A Grenoble (Isère), une centaine d’employés du service municipal de propreté urbaine ont rendu hommage à leur collègue décédé. Ils se sont rendus au carrefour où a eu lieu le drame, dimanche 8 septembre. Témoin d’un accident de la route, Lilian Dejean, 49 ans, a voulu intervenir et a été atteint de deux balles dans le thorax. Le tueur présumé serait le conducteur d’une voiture de grosse cylindrée qui a violemment percuté un autre véhicule par l’arrière.
Une cellule psychologique a été mise en place à la mairie. Le service public de la ville est meurtri. Une autre employée dénonce un quotidien marqué par des tensions toujours plus fortes. « Il s’est arrêté parce qu’il a vu un événement qui n’était pas acceptable. Il est intervenu et c’est ce que nous faisons tous. »“Nous sommes dans une situation délicate, mais nous ne sommes pas encore au courant”, assure Nadia Sahl, salariée et déléguée syndicale des Collectivités territoriales Sud. Devant la mairie, certains habitants se disent affectés et inquiets. Lundi midi, le chauffard, présumé meurtrier, n’a pas encore été appréhendé.