Le Citoyen rapports « L’assassinat d’une figure de l’opposition » dans le titre d’un de ses articles. Le quotidien tanzanien poursuit avec ces mots, comme un cri du cœur : « Ça suffit. » Lors d’une conférence de presse dimanche 8 septembre, le président du parti d’opposition tanzanien Chadema (Parti pour la démocratie et le progrès), Freeman Mbowe, a annoncé la découverte du corps sans vie de Mohamed Ali Kibao, membre du secrétariat national du parti, à Dar Es Salaam, la plus grande ville du pays.
Kibao a été enlevé le vendredi 6 septembre par deux hommes armés qui l’ont forcé à descendre d’un bus reliant Dar Es Salaam à Tanga, une ville du nord du pays. Selon les informations fournies par Mbowe, le corps de Kibao a été retrouvé le lendemain, portant des traces de coups et d’acide. Agé de 69 ans, cet officier de l’armée à la retraite était membre du Chadema depuis 2008.
Dans un message publié sur le réseau social X, la présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan a condamné le meurtre et demandé une enquête. « rassemble une union qui transcende le spectre politique, pour demander au gouvernement de tout faire pour qu’un tel événement ne se reproduise plus », continue Le Citoyen.
« Les mauvaises habitudes du passé »
Le titre
Le Citoyen rapports « L’assassinat d’une figure de l’opposition » dans le titre d’un de ses articles. Le quotidien tanzanien poursuit avec ces mots, comme un cri du cœur : « Ça suffit. » Lors d’une conférence de presse dimanche 8 septembre, le président du parti d’opposition tanzanien Chadema (Parti pour la démocratie et le progrès), Freeman Mbowe, a annoncé la découverte du corps sans vie de Mohamed Ali Kibao, membre du secrétariat national du parti, à Dar Es Salaam, la plus grande ville du pays.
Kibao a été enlevé le vendredi 6 septembre par deux hommes armés qui l’ont forcé à descendre d’un bus reliant Dar Es Salaam à Tanga, une ville du nord du pays. Selon les informations fournies par Mbowe, le corps de Kibao a été retrouvé le lendemain, portant des traces de coups et d’acide. Agé de 69 ans, cet officier de l’armée à la retraite était membre du Chadema depuis 2008.
Dans un message publié sur le réseau social X, la présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan a condamné le meurtre et demandé une enquête. « rassemble une union qui transcende le spectre politique, pour demander au gouvernement de tout faire pour qu’un tel événement ne se reproduise plus », continue Le Citoyen.
« Les mauvaises habitudes du passé »
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