« Pour la première fois depuis treize ans, la Turquie participe à une réunion de la Ligue arabe », a-t-il ajouté. rapporte le site Arabi21 sur le voyage du ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, le 10 septembre au Caire pour une session ordinaire de la Ligue arabe. Elle sera consacrée à « affaires régionales », Tout d’abord, la guerre à Gaza, ainsi qu’en « Les relations entre la Turquie et la Ligue arabe ».
Cette participation fait partie de la« les relations entre la Turquie et plusieurs pays arabes se sont améliorées après une longue période de tensions avec l’Égypte, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite », ajoute le site.
Les vingt-deux Etats membres de la Ligue arabe devaient donner leur accord à cette participation turque, souligne le site. Résumé arabe, et c’est Le Caire qui a « a joué un rôle clé » pour convaincre notamment la Syrie, ajoute le site, citant des sources diplomatiques proches de la Ligue.
Ces relations s’étaient fortement dégradées depuis 2011, dans le contexte du « Printemps arabe ». La Turquie soutenait les mouvements révolutionnaires, tandis que Riyad et Abou Dhabi poursuivaient une politique contre-révolutionnaire, tout comme Le Caire depuis le coup d’État mené par les forces armées égyptiennes en juillet.
« Pour la première fois depuis treize ans, la Turquie participe à une réunion de la Ligue arabe », a-t-il ajouté. rapporte le site Arabi21 sur le voyage du ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, le 10 septembre au Caire pour une session ordinaire de la Ligue arabe. Elle sera consacrée à « affaires régionales », Tout d’abord, la guerre à Gaza, ainsi qu’en « Les relations entre la Turquie et la Ligue arabe ».
Cette participation fait partie de la« les relations entre la Turquie et plusieurs pays arabes se sont améliorées après une longue période de tensions avec l’Égypte, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite », ajoute le site.
Les vingt-deux Etats membres de la Ligue arabe devaient donner leur accord à cette participation turque, souligne le site. Résumé arabe, et c’est Le Caire qui a « a joué un rôle clé » pour convaincre notamment la Syrie, ajoute le site, citant des sources diplomatiques proches de la Ligue.
Ces relations s’étaient fortement dégradées depuis 2011, dans le contexte du « Printemps arabe ». La Turquie soutenait les mouvements révolutionnaires, tandis que Riyad et Abou Dhabi poursuivaient une politique contre-révolutionnaire, tout comme Le Caire depuis le coup d’État mené par les forces armées égyptiennes en juillet.