Les finances souffrent, les députés attendent, Bruxelles s’impatiente : le compte à rebours est déjà bien lancé pour Michel Barnier, comme ne cesse de le rappeler la presse internationale depuis la nomination du nouveau Premier ministre français le 5 septembre. Budget 2025, pouvoir d’achat, immigration et institutions sont au programme du nouveau chef du gouvernement. Mais avec quelle équipe ? C’est un sujet qui est loin d’être évident, observent les médias étrangers.
« Cela faisait des années qu’un gouvernement français n’avait pas eu autant de défis à relever avec si peu de moyens », note le journaliste britannique John Lichfield, sur Le local. Et à l’approche des échéances pour l’élaboration d’un plan budgétaire – le 20 septembre pour Bruxelles, le 1er septembreeuh Octobre pour l’Assemblée nationale −, « Le gaulliste commence seulement à former son gouvernement » notez en Suisse le Nouveau journal de Zurich.
« Un nouveau gouvernement, pas un remaniement »
À Matignon, explique Le journal en Espagne, « Le Premier ministre mène des consultations pour former son gouvernement, sous l’œil vigilant de l’extrême droite. »
On sait qu’il est soutenu par le camp présidentiel et par les Républicains (LR), mais sans majorité à l’Assemblée.
Les finances souffrent, les députés attendent, Bruxelles s’impatiente : le compte à rebours est déjà bien lancé pour Michel Barnier, comme ne cesse de le rappeler la presse internationale depuis la nomination du nouveau Premier ministre français le 5 septembre. Budget 2025, pouvoir d’achat, immigration et institutions sont au programme du nouveau chef du gouvernement. Mais avec quelle équipe ? C’est un sujet qui est loin d’être évident, observent les médias étrangers.
« Cela faisait des années qu’un gouvernement français n’avait pas eu autant de défis à relever avec si peu de moyens », note le journaliste britannique John Lichfield, sur Le local. Et à l’approche des échéances pour l’élaboration d’un plan budgétaire – le 20 septembre pour Bruxelles, le 1er septembreeuh Octobre pour l’Assemblée nationale −, « Le gaulliste commence seulement à former son gouvernement » notez en Suisse le Nouveau journal de Zurich.
« Un nouveau gouvernement, pas un remaniement »
À Matignon, explique Le journal en Espagne, « Le Premier ministre mène des consultations pour former son gouvernement, sous l’œil vigilant de l’extrême droite. »
On sait qu’il est soutenu par le camp présidentiel et par les Républicains (LR), mais sans majorité à l’Assemblée.