La « finale » du tournoi entre la France et l’Angleterre se jouera samedi au stade Chaban-Delmas de Bordeaux. Et déjà un record a été battu : celui de l’affluence pour un match de rugby féminin en France.
Publié
Temps de lecture : 2 minutes
« S’il y a autant d’audience que nous l’espérons, cela nous aidera à nous galvaniser encore plus. » espère vendredi 26 avril sur France Bleu Gironde Annaëlle Deshayes, pilier du XV de France et du Stade Bordelais, à la veille du dernier match du Tournoi des six nations féminin entre la France et l’Angleterre au stade Chaban-Delmas de Bordeaux.
Avec ce Crunch, la victoire finale du tournoi et du grand chelem se joue samedi. Ce match battra le record d’affluence pour un match de rugby féminin en France. Le stade Chaban-Delmas est quasiment plein et pourrait afficher complet samedi. Une affluence quatre fois supérieure au record de spectateurs en Elite 1, le championnat de France féminin de rugby, rappelle France Bleu Gironde.
“Nous avons l’habitude de jouer là-bas, mais avec un stade vide, donc le voir plein serait tout simplement énorme.”
Annaëlle Deshayes, pilier du XV de Franceà France Bleu Gironde
C’est “nécessairement” une motivation supplémentaire pour jouer à Bordeaux, autour d’autant de spectateurs, “sachant qu’en plus le 16ème homme compte beaucoup sur des matches comme celui-ci qui peuvent être serrés sur la fin, donc on espère que le public sera là et sera là pour nous encourager dans des moments qui sont un peu compliqués pour nous”.
“L’impossible est possible”
Le match s’annonce rude car le XV de France a essuyé 12 défaites consécutives face aux Anglais, rappelle France Bleu Gironde. “On se dit que l’impossible est possible. On a hâte de jouer ce match, on ne pense pas forcément aux défaites qu’il y a eu avant, on se dit que c’est un nouveau groupe, un nouveau staff, on a travaillé d’une autre manière, pour pouvoir évoluer encore plus”, poursuit Annaëlle Deshayes.
La victoire se jouera “sur les détails, il faudra être pragmatiques comme ils peuvent l’être, ne pas faire d’erreurs ni leur donner l’opportunité de marquer ou quoi que ce soit d’autre, prédit Annaëlle Deshayes. S’il y a autant de public qu’on l’espère, cela nous aidera à nous galvaniser encore plus et à pouvoir gagner encore plus ces petits mètres qu’on n’a pas forcément l’habitude de gagner. on s’entend vraiment bien et on construit une histoire, on grandit de match en match, ça se voit et ça se ressent dans le groupe. conclut Annaëlle Deshayes.
La « finale » du tournoi entre la France et l’Angleterre se jouera samedi au stade Chaban-Delmas de Bordeaux. Et déjà un record a été battu : celui de l’affluence pour un match de rugby féminin en France.
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« S’il y a autant d’audience que nous l’espérons, cela nous aidera à nous galvaniser encore plus. » espère vendredi 26 avril sur France Bleu Gironde Annaëlle Deshayes, pilier du XV de France et du Stade Bordelais, à la veille du dernier match du Tournoi des six nations féminin entre la France et l’Angleterre au stade Chaban-Delmas de Bordeaux.
Avec ce Crunch, la victoire finale du tournoi et du grand chelem se joue samedi. Ce match battra le record d’affluence pour un match de rugby féminin en France. Le stade Chaban-Delmas est quasiment plein et pourrait afficher complet samedi. Une affluence quatre fois supérieure au record de spectateurs en Elite 1, le championnat de France féminin de rugby, rappelle France Bleu Gironde.
“Nous avons l’habitude de jouer là-bas, mais avec un stade vide, donc le voir plein serait tout simplement énorme.”
Annaëlle Deshayes, pilier du XV de Franceà France Bleu Gironde
C’est “nécessairement” une motivation supplémentaire pour jouer à Bordeaux, autour d’autant de spectateurs, “sachant qu’en plus le 16ème homme compte beaucoup sur des matches comme celui-ci qui peuvent être serrés sur la fin, donc on espère que le public sera là et sera là pour nous encourager dans des moments qui sont un peu compliqués pour nous”.
“L’impossible est possible”
Le match s’annonce rude car le XV de France a essuyé 12 défaites consécutives face aux Anglais, rappelle France Bleu Gironde. “On se dit que l’impossible est possible. On a hâte de jouer ce match, on ne pense pas forcément aux défaites qu’il y a eu avant, on se dit que c’est un nouveau groupe, un nouveau staff, on a travaillé d’une autre manière, pour pouvoir évoluer encore plus”, poursuit Annaëlle Deshayes.
La victoire se jouera “sur les détails, il faudra être pragmatiques comme ils peuvent l’être, ne pas faire d’erreurs ni leur donner l’opportunité de marquer ou quoi que ce soit d’autre, prédit Annaëlle Deshayes. S’il y a autant de public qu’on l’espère, cela nous aidera à nous galvaniser encore plus et à pouvoir gagner encore plus ces petits mètres qu’on n’a pas forcément l’habitude de gagner. on s’entend vraiment bien et on construit une histoire, on grandit de match en match, ça se voit et ça se ressent dans le groupe. conclut Annaëlle Deshayes.