Tard dans la soirée du 8 septembre, le président tunisien Kais Saied a annoncé qu’il avait procédé à un changement d’envergure au sein du corps des gouverneurs. En d’autres termes, « une purge », lance un site d’information indépendant Actualités commerciales, qui note que le président s’est débarrassé de « du premier cercle du processus du 25 juillet »la date du coup d’État de 2021 qui lui a accordé des pouvoirs très étendus, deux ans après son élection à la tête de l’État.
Même les plus fervents défenseurs de la politique du président n’ont pas résisté, à l’image du gouverneur de Ben Arous (sud de la capitale), Ezzedine Chelbi, dont le limogeage a été largement commenté par les internautes.
Selon Actualités commerciales, L’objectif des derniers remaniements parmi les ministres et les gouverneurs est de « assurer la loyauté des nouveaux représentants ». Une loyauté qui a peut-être faibli parmi les anciens.
Consolidation du pouvoir
A quelques semaines du 6 octobre, date d’une élection présidentielle qui s’annonce bien terne, l’autocrate de Carthage consolide son pouvoir tandis que ses opposants politiques ainsi que de nombreux militants et journalistes continuent de croupir dans les prisons, parfois sans avoir eu droit à un procès.
Même si le principal di
Tard dans la soirée du 8 septembre, le président tunisien Kais Saied a annoncé qu’il avait procédé à un changement d’envergure au sein du corps des gouverneurs. En d’autres termes, « une purge », lance un site d’information indépendant Actualités commerciales, qui note que le président s’est débarrassé de « du premier cercle du processus du 25 juillet »la date du coup d’État de 2021 qui lui a accordé des pouvoirs très étendus, deux ans après son élection à la tête de l’État.
Même les plus fervents défenseurs de la politique du président n’ont pas résisté, à l’image du gouverneur de Ben Arous (sud de la capitale), Ezzedine Chelbi, dont le limogeage a été largement commenté par les internautes.
Selon Actualités commerciales, L’objectif des derniers remaniements parmi les ministres et les gouverneurs est de « assurer la loyauté des nouveaux représentants ». Une loyauté qui a peut-être faibli parmi les anciens.
Consolidation du pouvoir
A quelques semaines du 6 octobre, date d’une élection présidentielle qui s’annonce bien terne, l’autocrate de Carthage consolide son pouvoir tandis que ses opposants politiques ainsi que de nombreux militants et journalistes continuent de croupir dans les prisons, parfois sans avoir eu droit à un procès.
Même si le principal di