Cela a suscité la colère en Normandie et dans plusieurs grandes agglomérations (Rouen, Le Havre, Caen et Cherbourg).
Publié
Temps de lecture : 1 min
La région Ile-de-France a adopté, mercredi 11 septembre, une motion pour demander à l’Etat d’abandonner le projet de Nouvelle Ligne Paris Normandie (LNPN), censée réduire les temps de trajet entre la capitale et plusieurs villes normandes.
La présidente régionale Valérie Pécresse critique un projet « dont l’impact écologique et économique serait désastreux pour les communes traversées, notamment dans les Yvelines ». Selon la motion adoptée par les élus régionaux, « Cette ligne nécessite l’artificialisation de centaines d’hectares de terres agricoles qui comptent parmi les meilleures de France ».
Le projet, estimé à 11,5 milliards d’euros par la région, est également considéré comme un «« aberration économique » Et « détruira ou endommagera les ressources en eau ainsi que les espaces naturels essentiels à la protection de la biodiversité ».
La décision de la région Ile-de-France suscite la colère de la région Normandie et de plusieurs grandes agglomérations (Rouen, Le Havre, Caen et Cherbourg), qui la qualifient dans un communiqué commun de « projet d’intérêt national ».
« Valérie Pécresse oublie que le projet a été annoncé par Nicolas Sarkozy en 2009, et qu’il a donc été mené avec détermination par un gouvernement dont elle faisait partie »ont déclaré les communautés de Normandie. En outre, « Les partenaires du projet, dont sa région, ont consacré plus de 100 millions d’euros à ce jour » aux études.
Cela a suscité la colère en Normandie et dans plusieurs grandes agglomérations (Rouen, Le Havre, Caen et Cherbourg).
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La région Ile-de-France a adopté, mercredi 11 septembre, une motion pour demander à l’Etat d’abandonner le projet de Nouvelle Ligne Paris Normandie (LNPN), censée réduire les temps de trajet entre la capitale et plusieurs villes normandes.
La présidente régionale Valérie Pécresse critique un projet « dont l’impact écologique et économique serait désastreux pour les communes traversées, notamment dans les Yvelines ». Selon la motion adoptée par les élus régionaux, « Cette ligne nécessite l’artificialisation de centaines d’hectares de terres agricoles qui comptent parmi les meilleures de France ».
Le projet, estimé à 11,5 milliards d’euros par la région, est également considéré comme un «« aberration économique » Et « détruira ou endommagera les ressources en eau ainsi que les espaces naturels essentiels à la protection de la biodiversité ».
La décision de la région Ile-de-France suscite la colère de la région Normandie et de plusieurs grandes agglomérations (Rouen, Le Havre, Caen et Cherbourg), qui la qualifient dans un communiqué commun de « projet d’intérêt national ».
« Valérie Pécresse oublie que le projet a été annoncé par Nicolas Sarkozy en 2009, et qu’il a donc été mené avec détermination par un gouvernement dont elle faisait partie »ont déclaré les communautés de Normandie. En outre, « Les partenaires du projet, dont sa région, ont consacré plus de 100 millions d’euros à ce jour » aux études.