Coup d’envoi au Japon. Ce 12 septembre débute enfin la campagne officielle pour l’élection du président du Parti libéral-démocrate (PLD) au pouvoir, après des semaines de négociations en coulisses au sein du parti. Le parti disposant, avec son allié Komeito, d’une majorité absolue dans les deux chambres du pays, le vainqueur du scrutin succédera automatiquement à Fumio Kishida au poste de Premier ministre, qui a annoncé le 14 août vouloir quitter le pouvoir après trois ans à la tête du PLD et du Japon.
Cette fois, neuf parlementaires du parti ont réussi à obtenir le soutien d’au moins vingt législateurs, condition nécessaire pour se présenter aux élections. « C’est la première fois depuis la mise en place du système actuel en 1972 qu’il y a autant de candidats », note la radio publique japonaise NHK.
Ces neuf candidats se disputeront 734 voix, réparties entre les deux groupes d’électeurs – les membres du parti et ses parlementaires en exercice – selon un système complexe agrégeant les votes des membres et visant à garantir que les votes de chacun de ces deux groupes comptent pour la moitié du total des votes.
Si, à l’issue de ce premier tour, personne ne parvient à obtenir la majorité absolue, le sort de l’élection se jouera lors d’un second tour entre les candidats arrivés en première et en deuxième position. Le dépouillement est prévu le 27 septembre.
D’après les sondages, la presse japonaise cite
Coup d’envoi au Japon. Ce 12 septembre débute enfin la campagne officielle pour l’élection du président du Parti libéral-démocrate (PLD) au pouvoir, après des semaines de négociations en coulisses au sein du parti. Le parti disposant, avec son allié Komeito, d’une majorité absolue dans les deux chambres du pays, le vainqueur du scrutin succédera automatiquement à Fumio Kishida au poste de Premier ministre, qui a annoncé le 14 août vouloir quitter le pouvoir après trois ans à la tête du PLD et du Japon.
Cette fois, neuf parlementaires du parti ont réussi à obtenir le soutien d’au moins vingt législateurs, condition nécessaire pour se présenter aux élections. « C’est la première fois depuis la mise en place du système actuel en 1972 qu’il y a autant de candidats », note la radio publique japonaise NHK.
Ces neuf candidats se disputeront 734 voix, réparties entre les deux groupes d’électeurs – les membres du parti et ses parlementaires en exercice – selon un système complexe agrégeant les votes des membres et visant à garantir que les votes de chacun de ces deux groupes comptent pour la moitié du total des votes.
Si, à l’issue de ce premier tour, personne ne parvient à obtenir la majorité absolue, le sort de l’élection se jouera lors d’un second tour entre les candidats arrivés en première et en deuxième position. Le dépouillement est prévu le 27 septembre.
D’après les sondages, la presse japonaise cite