Le Stade Rennais a connu un été chargé en termes de départs et d’arrivées. Lors du mercato estival, le club a réalisé 23 mouvements (11 arrivées, 12 départs). Il s’est séparé de joueurs historiques (Bourigeaud, Terrier notamment) et a accueilli quasi exclusivement des joueurs étrangers.
Un mercato parfois mal compris par certains en raison de son ampleur, mais que Frédéric Massara a pris le temps d’expliquer ce jeudi 12 septembre à La Piverdière. Durant deux heures d’échanges, le directeur sportif de 55 ans a répondu à toutes les questions, sans en éluder aucune.
À LIRE AUSSI. PODCAST. Pleine Lucarne fait le point sur le mercato du Stade Rennais
Un succès et puis deux échecs au départ, ça vous dérange ?
C’est un début qu’on espérait meilleur, avec deux déplacements moins bons que celui contre Lyon. On est tous un peu déçus, mais on sait que sur une saison comme celle-ci, avec autant de changements dans l’effectif, on risquait au début d’avoir des hauts et des bas.
Encore plus quand on perd en cours de route un manager comme Benjamin Bourigeaud ?
Quand on perd des joueurs importants pour l’équipe, c’est sûr que la reconstruction peut prendre un peu plus de temps. C’est quelque chose qu’on savait et qu’on accepte. Certains joueurs avaient besoin d’aller voir ailleurs, d’autres n’étaient pas épanouis comme ils l’espéraient, d’autres étaient des pépites sur le marché, donc on a eu beaucoup de dossiers différents qui ont fini sur le même mercato. Douze départs, onze arrivées, des changements aussi profonds, c’est plutôt rare mais il y a des moments où il faut le faire, pour démarrer un nouveau cycle qui doit être ambitieux et avec le même projet d’avoir une équipe compétitive au plus haut niveau. C’était le moment. Qu’est-ce que cela va donner ? On espère, comme je l’ai dit dans ma présentation, qu’on aura une équipe forte et qu’elle le démontrera.
« Nous avons passé un été où nous avons pratiquement vécu ensemble avec l’entraîneur »
Était-il impossible de ne pas perdre Bourigeaud ?
Si vous lui demandez, je pense que ce n’était pas possible. Cela dit, il y avait une forte volonté du club de tenter de le convaincre jusqu’au bout…
Aviez-vous imaginé des changements dans ces proportions ?
Je savais que c’était une période de changements nécessaires au sein de l’équipe. Certains n’étaient pas forcément anticipés. Des opportunités de marché. Ou des situations particulières qui nous ont amenés à prendre des décisions qui parfois…
Le Stade Rennais a connu un été chargé en termes de départs et d’arrivées. Lors du mercato estival, le club a réalisé 23 mouvements (11 arrivées, 12 départs). Il s’est séparé de joueurs historiques (Bourigeaud, Terrier notamment) et a accueilli quasi exclusivement des joueurs étrangers.
Un mercato parfois mal compris par certains en raison de son ampleur, mais que Frédéric Massara a pris le temps d’expliquer ce jeudi 12 septembre à La Piverdière. Durant deux heures d’échanges, le directeur sportif de 55 ans a répondu à toutes les questions, sans en éluder aucune.
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Un succès et puis deux échecs au départ, ça vous dérange ?
C’est un début qu’on espérait meilleur, avec deux déplacements moins bons que celui contre Lyon. On est tous un peu déçus, mais on sait que sur une saison comme celle-ci, avec autant de changements dans l’effectif, on risquait au début d’avoir des hauts et des bas.
Encore plus quand on perd en cours de route un manager comme Benjamin Bourigeaud ?
Quand on perd des joueurs importants pour l’équipe, c’est sûr que la reconstruction peut prendre un peu plus de temps. C’est quelque chose qu’on savait et qu’on accepte. Certains joueurs avaient besoin d’aller voir ailleurs, d’autres n’étaient pas épanouis comme ils l’espéraient, d’autres étaient des pépites sur le marché, donc on a eu beaucoup de dossiers différents qui ont fini sur le même mercato. Douze départs, onze arrivées, des changements aussi profonds, c’est plutôt rare mais il y a des moments où il faut le faire, pour démarrer un nouveau cycle qui doit être ambitieux et avec le même projet d’avoir une équipe compétitive au plus haut niveau. C’était le moment. Qu’est-ce que cela va donner ? On espère, comme je l’ai dit dans ma présentation, qu’on aura une équipe forte et qu’elle le démontrera.
« Nous avons passé un été où nous avons pratiquement vécu ensemble avec l’entraîneur »
Était-il impossible de ne pas perdre Bourigeaud ?
Si vous lui demandez, je pense que ce n’était pas possible. Cela dit, il y avait une forte volonté du club de tenter de le convaincre jusqu’au bout…
Aviez-vous imaginé des changements dans ces proportions ?
Je savais que c’était une période de changements nécessaires au sein de l’équipe. Certains n’étaient pas forcément anticipés. Des opportunités de marché. Ou des situations particulières qui nous ont amenés à prendre des décisions qui parfois…