Mi-février, alors que l’Europe n’était encore qu’une illusion lointaine, Eric Roy prévenait déjà, au cas où : jouer tous les trois jours, c’est une autre affaire. Huit mois plus tard, Le Stade Brestois est là. Après trois premiers matchs de préparation en Ligue 1, il s’apprête à vivre son premier bloc de matchs en qualification pour la Ligue des Champions.
Et le calendrier ne l’a pas épargné. Il commencera par un sommet : le PSG, samedi, cinq jours avant de recevoir le Sturm Graz (Autriche) à Guingamp pour lancer son histoire…
Mi-février, alors que l’Europe n’était encore qu’une illusion lointaine, Eric Roy prévenait déjà, au cas où : jouer tous les trois jours, c’est une autre affaire. Huit mois plus tard, Le Stade Brestois est là. Après trois premiers matchs de préparation en Ligue 1, il s’apprête à vivre son premier bloc de matchs en qualification pour la Ligue des Champions.
Et le calendrier ne l’a pas épargné. Il commencera par un sommet : le PSG, samedi, cinq jours avant de recevoir le Sturm Graz (Autriche) à Guingamp pour lancer son histoire…