En réduisant la population de pigeons, nous pourrions également réduire celle d’une autre espèce invasive bien connue des grandes villes : les rats.
Lorsqu’on nourrit les pigeons, par exemple en jetant des miettes sur le sol, les oiseaux ne mangent pas tout. Les restes attirent les rats, qui prolifèrent.
C’est ce que dit l’histoire Magazine New York Dans un article consacré à Kathleen Corradi, le « reine des rats » de New York.
En réduisant la population de pigeons, nous pourrions également réduire celle d’une autre espèce invasive bien connue des grandes villes : les rats.
Lorsqu’on nourrit les pigeons, par exemple en jetant des miettes sur le sol, les oiseaux ne mangent pas tout. Les restes attirent les rats, qui prolifèrent.
C’est ce que dit l’histoire Magazine New York Dans un article consacré à Kathleen Corradi, le « reine des rats » de New York.