Le candidat démocrate occupe la moitié supérieure de la couverture du Magazine New York, Le candidat républicain, lui, est assis en dessous.
Elle regarde vers l’avant, souriante, comme pour mieux illustrer le titre qui accompagne sa photo : « Le plan heureux pour élire Kamala Harris. » Il est de profil, plus ombragé, suffisamment pour sonder « l’oreille et l’âme de Donald Trump », comme le proclame le magazine.
A huit semaines de l’élection présidentielle américaine, le magazine New York a confié à deux de ses rédactrices phares la tâche de rendre compte des enjeux du sprint final de la course à la Maison Blanche, de part et d’autre.
Femmes à la campagne
Pour la journaliste Rebecca Traister, qui a écrit l’article sur Kamala Harris, le mouvement “organique” Le soutien qui s’est cristallisé autour de la candidate démocrate mérite d’être examiné. Un engouement qui a pris forme immédiatement après l’annonce du retrait de Joe Biden de la course à la Maison Blanche et qu’elle qualifie de « un véritable mouvement dirigé par des femmes qui s’est construit au fil des décennies et qui a pris un nouvel élan après la défaite d’Hillary Clinton en 2016 » face à Donald Trump.
Le mouvement a alors démarré au service de la candidate. Kamala Harris « propose un ensemble de politiques sur le logement, le travail de soins, l’avortement, la santé et le travail qu’elle considère comme étant intrinsèquement, mais pas exclusivement, des problèmes de femmes. »
Pour le journaliste, ce mouvement « galvanisés par un revers dévastateur pour les droits des femmes », L’abrogation du droit constitutionnel à l’avortement par la Cour suprême en 2022 vise désormais à corriger cette injustice et pourrait, qui sait, intervenir le 5 novembre. « pour inaugurer une nouvelle ère de la politique américaine. »
L’oreille réparée
Du côté de Donald Trump, c’est la journaliste Olivia Nuzzi qui a pris sur elle d’aller interviewer le candidat républicain dans sa propriété de Mar-a-Lago, en Floride. Dans un article truffé de détails baroques, elle se rend au chevet du candidat républicain et s’enquiert de l’état de son oreille blessée. Trump avait été abattu en plein meeting électoral dans la petite ville de Butler, en Pennsylvanie, le 13 juillet.
Un Donald Trump que le journaliste décrit comme à la fois différent et un peu plus calme, mais aussi fidèle à lui-même et plus préoccupé par son sort que par celui de sa famille. « redoutable rival ». Un candidat, enfin, dont l’oreille porte à peine les cicatrices de sa tentative d’assassinat.
Le candidat démocrate occupe la moitié supérieure de la couverture du Magazine New York, Le candidat républicain, lui, est assis en dessous.
Elle regarde vers l’avant, souriante, comme pour mieux illustrer le titre qui accompagne sa photo : « Le plan heureux pour élire Kamala Harris. » Il est de profil, plus ombragé, suffisamment pour sonder « l’oreille et l’âme de Donald Trump », comme le proclame le magazine.
A huit semaines de l’élection présidentielle américaine, le magazine New York a confié à deux de ses rédactrices phares la tâche de rendre compte des enjeux du sprint final de la course à la Maison Blanche, de part et d’autre.
Femmes à la campagne
Pour la journaliste Rebecca Traister, qui a écrit l’article sur Kamala Harris, le mouvement “organique” Le soutien qui s’est cristallisé autour de la candidate démocrate mérite d’être examiné. Un engouement qui a pris forme immédiatement après l’annonce du retrait de Joe Biden de la course à la Maison Blanche et qu’elle qualifie de « un véritable mouvement dirigé par des femmes qui s’est construit au fil des décennies et qui a pris un nouvel élan après la défaite d’Hillary Clinton en 2016 » face à Donald Trump.
Le mouvement a alors démarré au service de la candidate. Kamala Harris « propose un ensemble de politiques sur le logement, le travail de soins, l’avortement, la santé et le travail qu’elle considère comme étant intrinsèquement, mais pas exclusivement, des problèmes de femmes. »
Pour le journaliste, ce mouvement « galvanisés par un revers dévastateur pour les droits des femmes », L’abrogation du droit constitutionnel à l’avortement par la Cour suprême en 2022 vise désormais à corriger cette injustice et pourrait, qui sait, intervenir le 5 novembre. « pour inaugurer une nouvelle ère de la politique américaine. »
L’oreille réparée
Du côté de Donald Trump, c’est la journaliste Olivia Nuzzi qui a pris sur elle d’aller interviewer le candidat républicain dans sa propriété de Mar-a-Lago, en Floride. Dans un article truffé de détails baroques, elle se rend au chevet du candidat républicain et s’enquiert de l’état de son oreille blessée. Trump avait été abattu en plein meeting électoral dans la petite ville de Butler, en Pennsylvanie, le 13 juillet.
Un Donald Trump que le journaliste décrit comme à la fois différent et un peu plus calme, mais aussi fidèle à lui-même et plus préoccupé par son sort que par celui de sa famille. « redoutable rival ». Un candidat, enfin, dont l’oreille porte à peine les cicatrices de sa tentative d’assassinat.