Publié
Mise à jour
Durée de la vidéo : 4 minutes
La situation est toujours extrêmement tendue rue Saint-Guillaume, alors que de nombreux étudiants pro-palestiniens se mobilisent.
Depuis plusieurs jours, un blocus est mis en place devant Science Po Paris par des étudiants pro-palestiniens. Éléonore Schmitt, porte-parole du Syndicat étudiant de Science Po Strasbourg, se dit associée au mouvement. « Notre branche locale participe activement. Et puis, nous appelons à amplifier la mobilisation et à reproduire cela partout en France. (…) C’est une cause qui est juste»assure-t-elle.
« Un combat profondément pacifiste »
Éléonore Schmitt tient à souligner qu’il s’agit de« une lutte profondément pacifiste ». En termes de revendications, le mouvement de manifestation demande à l’école « la fin des partenariats avec les universités israéliennes et avec les entreprises israéliennes qui soutiennent actuellement le génocide en cours », « la levée des poursuites disciplinaires contre les étudiants qui se mobilisent à Science Po » et aussi « un débat éclairé qui peut avoir lieu à Science Po avec la direction »souligne Éléonore Schmitt.
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La situation est toujours extrêmement tendue rue Saint-Guillaume, alors que de nombreux étudiants pro-palestiniens se mobilisent.
Depuis plusieurs jours, un blocus est mis en place devant Science Po Paris par des étudiants pro-palestiniens. Éléonore Schmitt, porte-parole du Syndicat étudiant de Science Po Strasbourg, se dit associée au mouvement. « Notre branche locale participe activement. Et puis, nous appelons à amplifier la mobilisation et à reproduire cela partout en France. (…) C’est une cause qui est juste»assure-t-elle.
« Un combat profondément pacifiste »
Éléonore Schmitt tient à souligner qu’il s’agit de« une lutte profondément pacifiste ». En termes de revendications, le mouvement de manifestation demande à l’école « la fin des partenariats avec les universités israéliennes et avec les entreprises israéliennes qui soutiennent actuellement le génocide en cours », « la levée des poursuites disciplinaires contre les étudiants qui se mobilisent à Science Po » et aussi « un débat éclairé qui peut avoir lieu à Science Po avec la direction »souligne Éléonore Schmitt.