À Bahreïn, près de 1 600 détenus ont été libérés le 8 avril après avoir été graciés par le roi Hamad bin Issa Al Khalifa. Beaucoup étaient en prison pour avoir participé à des manifestations réclamant des réformes démocratiques, à la suite des révoltes arabes de 2011. Cependant, les manifestations se poursuivent dans le pays car de nombreuses personnalités de l’opposition n’ont pas pu bénéficier de cette grâce, explique le défenseur des droits humains bahreïnien Sayed. Yusuf Almuhafdha.