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Durée de la vidéo : 4 minutes
Un meunier d’une trentaine d’années a décidé de relever le défi de continuer à faire perdurer la tradition familiale de fabrication de l’huile de noix sur les terres du Périgord. Rencontre avec Paul Dieudonné au moulin de Veyssière.
Paul Dieudonné n’avait pas prévu de retourner sur les terres périgourdines de son enfance. Il y a quatre ans, il a quitté Paris et une belle carrière dans l’agroalimentaire pour sauver la petite entreprise familiale. « On ne peut pas échapper au Périgord », note-t-il. Le moulin de Veyssière appartient à sa famille depuis 67 ans. Comme ses ancêtres avant lui, le président du moulin fabrique de l’huile de noix de manière totalement artisanale.
« Un cadeau empoisonné »
Ce trésor du Périgord est une histoire de transmission depuis sept générations. Paul a succédé à sa mère, Christine Elias, responsable qualité au moulin de Veyssière. “C’est un peu un cadeau empoisonné que j’ai fait à Paul, tout repose désormais sur ses épaules”, avoue-t-elle. Pour améliorer son chiffre d’affaires, l’entrepreneur attire chaque année 20 000 visiteurs.
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Un meunier d’une trentaine d’années a décidé de relever le défi de continuer à faire perdurer la tradition familiale de fabrication de l’huile de noix sur les terres du Périgord. Rencontre avec Paul Dieudonné au moulin de Veyssière.
Paul Dieudonné n’avait pas prévu de retourner sur les terres périgourdines de son enfance. Il y a quatre ans, il a quitté Paris et une belle carrière dans l’agroalimentaire pour sauver la petite entreprise familiale. « On ne peut pas échapper au Périgord », note-t-il. Le moulin de Veyssière appartient à sa famille depuis 67 ans. Comme ses ancêtres avant lui, le président du moulin fabrique de l’huile de noix de manière totalement artisanale.
« Un cadeau empoisonné »
Ce trésor du Périgord est une histoire de transmission depuis sept générations. Paul a succédé à sa mère, Christine Elias, responsable qualité au moulin de Veyssière. “C’est un peu un cadeau empoisonné que j’ai fait à Paul, tout repose désormais sur ses épaules”, avoue-t-elle. Pour améliorer son chiffre d’affaires, l’entrepreneur attire chaque année 20 000 visiteurs.