Propriétaire de l’OL, le dirigeant américain a été arrêté par la justice brésilienne en tant que président de Botafogo.
Le magnat américain John Textor, propriétaire du club Botafogo de Rio de Janeiro, qui a défrayé la chronique en dénonçant les matches truqués au Brésil, a été condamné vendredi à 45 jours de suspension pour avoir offensé le patron du football brésilien. Lors d’une séance virtuelle à laquelle Textor n’a pas participé, le Tribunal supérieur de justice sportive (STJD) a également décidé d’imposer une amende de 100 000 reais (environ 18 000 euros) au millionnaire.
Textor, qui est également patron de l’Olympique Lyonnais (L1), était accusé d’avoir violé deux articles du Code de justice sportive brésilien. En novembre 2023, il est sorti de son contrôle après la défaite 4-3 de Botafogo face à Palmeiras, en protestation contre un carton rouge reçu par l’un de ses joueurs alors que son équipe menait 3-1, à un quart d’heure du match. de la fin. “C’est du vol, de la corruption”» a-t-il déclaré, hors de lui, avant d’exiger la démission du président de la Confédération brésilienne de football (CBF), Ednaldo Rodrigues.
17 jours pour servir
Il a d’abord été suspendu à titre préventif pendant 30 jours, période ensuite portée à 35 jours. Ayant déjà purgé 28 jours de suspension, il ne lui reste plus que 17 jours pour rester à l’écart des terrains, selon la presse locale.
Propriétaire de Botafogo depuis mars 2022, l’homme d’affaires de 58 ans a créé une vive polémique en dénonçant de prétendus matchs truqués dans le championnat brésilien. Il a été entendu lundi par une commission d’enquête créée à l’initiative du légendaire ancien attaquant Romario, qui enquête sur des soupçons de matchs truqués. Là « manipulation des résultats » dans le football brésilien est un “réalité”dit Textor.
Dire de compter sur “preuve” obtenu par l’analyse d’images utilisant l’intelligence artificielle, il avait notamment dénoncé de prétendues irrégularités dont auraient profité Palmeiras, vainqueur du championnat brésilien l’an dernier. Il est également poursuivi pour ne pas avoir présenté à la justice sportive les preuves de ses accusations. La date de l’audience n’a pas encore été fixée.
Propriétaire de l’OL, le dirigeant américain a été arrêté par la justice brésilienne en tant que président de Botafogo.
Le magnat américain John Textor, propriétaire du club Botafogo de Rio de Janeiro, qui a défrayé la chronique en dénonçant les matches truqués au Brésil, a été condamné vendredi à 45 jours de suspension pour avoir offensé le patron du football brésilien. Lors d’une séance virtuelle à laquelle Textor n’a pas participé, le Tribunal supérieur de justice sportive (STJD) a également décidé d’imposer une amende de 100 000 reais (environ 18 000 euros) au millionnaire.
Textor, qui est également patron de l’Olympique Lyonnais (L1), était accusé d’avoir violé deux articles du Code de justice sportive brésilien. En novembre 2023, il est sorti de son contrôle après la défaite 4-3 de Botafogo face à Palmeiras, en protestation contre un carton rouge reçu par l’un de ses joueurs alors que son équipe menait 3-1, à un quart d’heure du match. de la fin. “C’est du vol, de la corruption”» a-t-il déclaré, hors de lui, avant d’exiger la démission du président de la Confédération brésilienne de football (CBF), Ednaldo Rodrigues.
17 jours pour servir
Il a d’abord été suspendu à titre préventif pendant 30 jours, période ensuite portée à 35 jours. Ayant déjà purgé 28 jours de suspension, il ne lui reste plus que 17 jours pour rester à l’écart des terrains, selon la presse locale.
Propriétaire de Botafogo depuis mars 2022, l’homme d’affaires de 58 ans a créé une vive polémique en dénonçant de prétendus matchs truqués dans le championnat brésilien. Il a été entendu lundi par une commission d’enquête créée à l’initiative du légendaire ancien attaquant Romario, qui enquête sur des soupçons de matchs truqués. Là « manipulation des résultats » dans le football brésilien est un “réalité”dit Textor.
Dire de compter sur “preuve” obtenu par l’analyse d’images utilisant l’intelligence artificielle, il avait notamment dénoncé de prétendues irrégularités dont auraient profité Palmeiras, vainqueur du championnat brésilien l’an dernier. Il est également poursuivi pour ne pas avoir présenté à la justice sportive les preuves de ses accusations. La date de l’audience n’a pas encore été fixée.