Alors que Dominique Pelicot avait été malade toute la semaine dernière, le principal accusé des viols de Mazan a réapparu devant le tribunal correctionnel de Vaucluse, mardi 17 septembre.
Le retraité de 71 ans accusé d’avoir drogué et livré sa femme à des inconnus pendant près de 10 ans a réapparu à l’audience mardi matin. Vêtu d’une polaire grise et assis sur un siège rembourré, Dominique Pelicot apparaît fatigué. Selon son avocate, Béatrice Zavarro, il souffre depuis le 6 septembre de divers maux de vessie. Hier, lundi 16 septembre, le président du tribunal, Roger Arata, a confirmé que Dominique Pelicot souffrait de “d’un calcul rénal”, « d’une infection des voies urinaires » et un « possible problème de prostate »
Le président a commencé l’audience en lisant le rapport établi hier à 17 heures par les médecins adressés à Dominique Pelicot. « Physiquement et mentalement, l’accusé est apte à comparaître. Un ensemble de mesures a été proposé : une pause toutes les 15 à 20 minutes après 90 minutes d’interrogatoire, ainsi qu’un équipement composé d’un fauteuil, d’une réserve d’eau, d’un matelas et d’un oreiller afin que M. Pelicot puisse se reposer pendant les pauses de 15 à 20 minutes. »a déclaré le président.
Pour la première fois depuis trois semaines que l’audience a eu lieu, Dominique Pelicot a pris la parole, s’adressant à son ex-femme, Gisèle Pelicot. « Je ne lui reproche rien, j’étais très heureux avec elle, elle était l’opposé de ma mère, complètement rebelle »Il pleure. « Je n’ai jamais touché à mes enfants et petits-enfants. Je suis un violeur comme les personnes concernées dans cette salle. Ils savaient tout. Ils ne peuvent pas dire le contraire. Elle ne méritait pas ça, je le reconnais. »L’accusé pleure et sort un mouchoir.
Hier, alors que l’accusé refusait d’être extrait de sa cellule, le président a ordonné à deux médecins de statuer sur l’état de santé de l’intéressé. Lundi soir, M.et Zavarro avait indiqué que son client pourrait enfin comparaître aujourd’hui grâce à « séquences temporelles avec des pauses » de sorte que « Les audiences ne devraient pas être trop longues. »
Alors que Dominique Pelicot avait été malade toute la semaine dernière, le principal accusé des viols de Mazan a réapparu devant le tribunal correctionnel de Vaucluse, mardi 17 septembre.
Le retraité de 71 ans accusé d’avoir drogué et livré sa femme à des inconnus pendant près de 10 ans a réapparu à l’audience mardi matin. Vêtu d’une polaire grise et assis sur un siège rembourré, Dominique Pelicot apparaît fatigué. Selon son avocate, Béatrice Zavarro, il souffre depuis le 6 septembre de divers maux de vessie. Hier, lundi 16 septembre, le président du tribunal, Roger Arata, a confirmé que Dominique Pelicot souffrait de “d’un calcul rénal”, « d’une infection des voies urinaires » et un « possible problème de prostate »
Le président a commencé l’audience en lisant le rapport établi hier à 17 heures par les médecins adressés à Dominique Pelicot. « Physiquement et mentalement, l’accusé est apte à comparaître. Un ensemble de mesures a été proposé : une pause toutes les 15 à 20 minutes après 90 minutes d’interrogatoire, ainsi qu’un équipement composé d’un fauteuil, d’une réserve d’eau, d’un matelas et d’un oreiller afin que M. Pelicot puisse se reposer pendant les pauses de 15 à 20 minutes. »a déclaré le président.
Pour la première fois depuis trois semaines que l’audience a eu lieu, Dominique Pelicot a pris la parole, s’adressant à son ex-femme, Gisèle Pelicot. « Je ne lui reproche rien, j’étais très heureux avec elle, elle était l’opposé de ma mère, complètement rebelle »Il pleure. « Je n’ai jamais touché à mes enfants et petits-enfants. Je suis un violeur comme les personnes concernées dans cette salle. Ils savaient tout. Ils ne peuvent pas dire le contraire. Elle ne méritait pas ça, je le reconnais. »L’accusé pleure et sort un mouchoir.
Hier, alors que l’accusé refusait d’être extrait de sa cellule, le président a ordonné à deux médecins de statuer sur l’état de santé de l’intéressé. Lundi soir, M.et Zavarro avait indiqué que son client pourrait enfin comparaître aujourd’hui grâce à « séquences temporelles avec des pauses » de sorte que « Les audiences ne devraient pas être trop longues. »