L’Eglise a-t-elle sciemment gardé le silence sur les agressions sexuelles commises pendant des années par l’abbé Pierre contre des femmes et des enfants ? C’est la question que se pose le Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) après les propos tenus par le pape François le 13 septembre dans l’avion le ramenant d’Asie. « Le souverain pontife a décrit l’abbé Pierre comme « terrible pécheur ». Ce dernier, qui a lutté avec son association Emmaüs contre la pauvreté, la misère et l’exclusion, était vénéré comme un saint en France.
Le scandale, souviens-toi Le Pays, « a éclaté cet été et a secoué la société française, à la suite d’un rapport interne (d’Emmaüs) qui reconnaissait que sept femmes l’avaient accusé d’attouchements non consentis, de baisers forcés et de propos à connotation sexuelle entre 1970 et 2005. » Aujourd’hui, rapporte le quotidien espagnol, 24 femmes l’accusent. Les agressions auraient eu lieu non seulement en France, mais aussi aux États-Unis, en Belgique, en Suisse et au Maroc.
« Quelles mesures ont été prises ? »
Donc le Vatican était au courant. Depuis quand ? « Je ne sais pas, parce que je n’étais pas là. » a assuré François, devenu pape en 2013. « Certainement après (sa) mort, c’est sûr. Mais avant, je ne sais pas. Autrement dit, le Vatican savait au moins depuis la disparition de l’abbé Pierre, en 2007, mais personne n’a rien révélé publiquement, et on ne sait pas quelles mesures ont été prises », a-t-il ajouté. commentaire Le pays.
« Comme dans d’autres cas, la loi du silence a prévalu », poursuit le quotidien madrilène. Mais désormais, tout semble s’accélérer. La Fondation Abbé-Pierre a décidé de changer de nom, les rues et les places portant son nom seront renommées. «Contrairement à ses habitudes, élever le FAZ, la Conférence des évêques de France a (même) annoncé l’ouverture immédiate des archives concernant l’abbé Pierre, sans attendre le délai prévu de soixante-quinze ans (après le décès de la personne).
L’Eglise a-t-elle sciemment gardé le silence sur les agressions sexuelles commises pendant des années par l’abbé Pierre contre des femmes et des enfants ? C’est la question que se pose le Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) après les propos tenus par le pape François le 13 septembre dans l’avion le ramenant d’Asie. « Le souverain pontife a décrit l’abbé Pierre comme « terrible pécheur ». Ce dernier, qui a lutté avec son association Emmaüs contre la pauvreté, la misère et l’exclusion, était vénéré comme un saint en France.
Le scandale, souviens-toi Le Pays, « a éclaté cet été et a secoué la société française, à la suite d’un rapport interne (d’Emmaüs) qui reconnaissait que sept femmes l’avaient accusé d’attouchements non consentis, de baisers forcés et de propos à connotation sexuelle entre 1970 et 2005. » Aujourd’hui, rapporte le quotidien espagnol, 24 femmes l’accusent. Les agressions auraient eu lieu non seulement en France, mais aussi aux États-Unis, en Belgique, en Suisse et au Maroc.
« Quelles mesures ont été prises ? »
Donc le Vatican était au courant. Depuis quand ? « Je ne sais pas, parce que je n’étais pas là. » a assuré François, devenu pape en 2013. « Certainement après (sa) mort, c’est sûr. Mais avant, je ne sais pas. Autrement dit, le Vatican savait au moins depuis la disparition de l’abbé Pierre, en 2007, mais personne n’a rien révélé publiquement, et on ne sait pas quelles mesures ont été prises », a-t-il ajouté. commentaire Le pays.
« Comme dans d’autres cas, la loi du silence a prévalu », poursuit le quotidien madrilène. Mais désormais, tout semble s’accélérer. La Fondation Abbé-Pierre a décidé de changer de nom, les rues et les places portant son nom seront renommées. «Contrairement à ses habitudes, élever le FAZ, la Conférence des évêques de France a (même) annoncé l’ouverture immédiate des archives concernant l’abbé Pierre, sans attendre le délai prévu de soixante-quinze ans (après le décès de la personne).