Le chancelier Olaf Scholz est « en mission d’immigration »a annoncé le Frankfurter Allgemeine Zeitung Le 15 septembre, lors de la visite du dirigeant allemand en Ouzbékistan, le social-démocrate s’est rendu dans cet Etat d’Asie centrale pour une raison précise : la signature d’un accord migratoire permettant l’arrivée de travailleurs qualifiés ouzbeks en Allemagne, tout en facilitant l’expulsion des migrants illégaux de ce pays.
Selon le journal conservateur, les négociations pour parvenir à cet accord ont été menées pendant près d’un an par un seul homme : le commissaire fédéral chargé des migrations, Joachim Stamp. Et leur issue « tombe au bon moment », Car l’immigration est au cœur des débats politiques. Début septembre, Stamp lui-même avait déclaré que l’Allemagne devrait reprendre les infrastructures financées – et aujourd’hui abandonnées – par les Britanniques au Rwanda. Et que Berlin devrait y envoyer des migrants, comme le Royaume-Uni l’avait initialement prévu.
Mais cet homme est surtout responsable d’un aspect important de la politique migratoire allemande. « Il a déjà obtenu la signature de plusieurs accords, dont un avec le Kenya, officiellement ratifié vendredi (13 septembre) à Berlin, en présence
Le chancelier Olaf Scholz est « en mission d’immigration »a annoncé le Frankfurter Allgemeine Zeitung Le 15 septembre, lors de la visite du dirigeant allemand en Ouzbékistan, le social-démocrate s’est rendu dans cet Etat d’Asie centrale pour une raison précise : la signature d’un accord migratoire permettant l’arrivée de travailleurs qualifiés ouzbeks en Allemagne, tout en facilitant l’expulsion des migrants illégaux de ce pays.
Selon le journal conservateur, les négociations pour parvenir à cet accord ont été menées pendant près d’un an par un seul homme : le commissaire fédéral chargé des migrations, Joachim Stamp. Et leur issue « tombe au bon moment », Car l’immigration est au cœur des débats politiques. Début septembre, Stamp lui-même avait déclaré que l’Allemagne devrait reprendre les infrastructures financées – et aujourd’hui abandonnées – par les Britanniques au Rwanda. Et que Berlin devrait y envoyer des migrants, comme le Royaume-Uni l’avait initialement prévu.
Mais cet homme est surtout responsable d’un aspect important de la politique migratoire allemande. « Il a déjà obtenu la signature de plusieurs accords, dont un avec le Kenya, officiellement ratifié vendredi (13 septembre) à Berlin, en présence