Les infections causées par des bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient tuer 39 millions de personnes dans le monde d’ici 2050, selon une étude publiée le 16 septembre dans La Lancette Et dont se font l’écho de nombreux médias. Cela porterait le nombre annuel de décès liés à ce fléau à 1,91 million, contre 1,27 million en 2019, selon de précédents travaux également publiés dans la célèbre revue médicale.
« Mais nous pourrions éviter un tiers de ces décès si nous prenions des mesures », souligne dès le départ Nouveau scientifique. Par exemple, une meilleure prévention des infections, un accès plus facile aux soins et un système de santé efficace, mais aussi le développement de nouveaux médicaments font partie des actions à entreprendre pour limiter le nombre de victimes.
« Alors que les décès liés à la résistance (des pathogènes) aux médicaments diminuent chez les très jeunes enfants grâce à l’amélioration de la vaccination et de l’hygiène, l’étude constate l’inverse chez leurs grands-parents », soulève de son côté Le Gardien. La faute en revient au système immunitaire parfois défaillant des personnes âgées, qui fréquentent par conséquent davantage les hôpitaux, où se développent des maladies nosocomiales
Les infections causées par des bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient tuer 39 millions de personnes dans le monde d’ici 2050, selon une étude publiée le 16 septembre dans La Lancette Et dont se font l’écho de nombreux médias. Cela porterait le nombre annuel de décès liés à ce fléau à 1,91 million, contre 1,27 million en 2019, selon de précédents travaux également publiés dans la célèbre revue médicale.
« Mais nous pourrions éviter un tiers de ces décès si nous prenions des mesures », souligne dès le départ Nouveau scientifique. Par exemple, une meilleure prévention des infections, un accès plus facile aux soins et un système de santé efficace, mais aussi le développement de nouveaux médicaments font partie des actions à entreprendre pour limiter le nombre de victimes.
« Alors que les décès liés à la résistance (des pathogènes) aux médicaments diminuent chez les très jeunes enfants grâce à l’amélioration de la vaccination et de l’hygiène, l’étude constate l’inverse chez leurs grands-parents », soulève de son côté Le Gardien. La faute en revient au système immunitaire parfois défaillant des personnes âgées, qui fréquentent par conséquent davantage les hôpitaux, où se développent des maladies nosocomiales