« C’est peut-être la première couverture de L’Atlantique jamais publié (dans les 167 ans d’histoire du magazine !) sans un titre ou une description des articles, » “C’est un peu comme si on se servait de l’éléphant pour se cacher”, a tweeté son rédacteur en chef. Le prestigieux mensuel américain a donné toute sa puissance à l’image : sombre, inquiétante, elle montre Donald Trump en conducteur d’une caravane de cirque fonçant vers le Capitole, avec à son bord le Parti républicain symbolisé par l’éléphant emprisonné. « L’illustrateur Justin Metz a emprunté le langage visuel des anciennes couvertures de livres de Ray Bradbury ou de Stephen King », expliquer L’Atlantique.
Le magazine consacre son numéro d’octobre « aux actions antidémocratiques de Trump et aux politiciens républicains qui se sont pliés à sa volonté », comme le raconte l’un de ses grands écrivains, Mark Leibovich.
Dans un autre long article, la journaliste Hanna Rosin raconte l’histoire de « trois femmes blanches (…) qui ne se connaissaient pas avant le 6 janvier 2021 et qui vivent ensemble », dans une maison à côté de chez elle. « Leur loyer est payé par des donateurs qui soutiennent leur cause. » Ces trois nouvelles voisines sont en fait l’épouse, la compagne et la mère de trois participants connus à l’assaut du Capitole. À ce titre, elles sont aujourd’hui « Au centre d’une nouvelle mythologie à droite ».
A quelques semaines des élections présidentielles et législatives du 5 novembre, L’Atlantique annonce également de se pencher sur « les menaces posées par un second mandat de Trump ». Un scénario que le magazine avait déjà exploré dans son numéro de janvier-février, intitulé « Si Trump gagne ». Et qui est tout sauf exclu aujourd’hui.
« C’est peut-être la première couverture de L’Atlantique jamais publié (dans les 167 ans d’histoire du magazine !) sans un titre ou une description des articles, » “C’est un peu comme si on se servait de l’éléphant pour se cacher”, a tweeté son rédacteur en chef. Le prestigieux mensuel américain a donné toute sa puissance à l’image : sombre, inquiétante, elle montre Donald Trump en conducteur d’une caravane de cirque fonçant vers le Capitole, avec à son bord le Parti républicain symbolisé par l’éléphant emprisonné. « L’illustrateur Justin Metz a emprunté le langage visuel des anciennes couvertures de livres de Ray Bradbury ou de Stephen King », expliquer L’Atlantique.
Le magazine consacre son numéro d’octobre « aux actions antidémocratiques de Trump et aux politiciens républicains qui se sont pliés à sa volonté », comme le raconte l’un de ses grands écrivains, Mark Leibovich.
Dans un autre long article, la journaliste Hanna Rosin raconte l’histoire de « trois femmes blanches (…) qui ne se connaissaient pas avant le 6 janvier 2021 et qui vivent ensemble », dans une maison à côté de chez elle. « Leur loyer est payé par des donateurs qui soutiennent leur cause. » Ces trois nouvelles voisines sont en fait l’épouse, la compagne et la mère de trois participants connus à l’assaut du Capitole. À ce titre, elles sont aujourd’hui « Au centre d’une nouvelle mythologie à droite ».
A quelques semaines des élections présidentielles et législatives du 5 novembre, L’Atlantique annonce également de se pencher sur « les menaces posées par un second mandat de Trump ». Un scénario que le magazine avait déjà exploré dans son numéro de janvier-février, intitulé « Si Trump gagne ». Et qui est tout sauf exclu aujourd’hui.