La première phase des élections locales au Cachemire indien débute ce mercredi 18 septembre. Les électeurs de cette région himalayenne « votera pour la première fois depuis dix ans », noté L’Express indien. Il s’agit également des premières élections depuis l’abrogation brutale en août 2019 de l’article 370, qui garantissait la semi-autonomie de ce territoire, poursuit le quotidien indien.
La région, seule à majorité musulmane du pays, est disputée entre l’Inde et le Pakistan, qui en contrôlent chacun une partie, et est en proie à une insurrection séparatiste depuis les années 1990. En 2019, le Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi l’a placée sous contrôle fédéral et elle est depuis dirigée par un gouverneur nommé au niveau central.
Sans journalistes étrangers
Les libertés civiles sont sévèrement restreintes et les ONG dénoncent régulièrement les violations des droits de l’homme commises par les forces armées indiennes. La zone reste également interdite aux journalistes étrangers, y compris pendant cet exercice démocratique.
Selon la Commission électorale indienne, plus de 2,3 millions d’électeurs devraient voter mercredi pour la première phase du scrutin triennal.
La première phase des élections locales au Cachemire indien débute ce mercredi 18 septembre. Les électeurs de cette région himalayenne « votera pour la première fois depuis dix ans », noté L’Express indien. Il s’agit également des premières élections depuis l’abrogation brutale en août 2019 de l’article 370, qui garantissait la semi-autonomie de ce territoire, poursuit le quotidien indien.
La région, seule à majorité musulmane du pays, est disputée entre l’Inde et le Pakistan, qui en contrôlent chacun une partie, et est en proie à une insurrection séparatiste depuis les années 1990. En 2019, le Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi l’a placée sous contrôle fédéral et elle est depuis dirigée par un gouverneur nommé au niveau central.
Sans journalistes étrangers
Les libertés civiles sont sévèrement restreintes et les ONG dénoncent régulièrement les violations des droits de l’homme commises par les forces armées indiennes. La zone reste également interdite aux journalistes étrangers, y compris pendant cet exercice démocratique.
Selon la Commission électorale indienne, plus de 2,3 millions d’électeurs devraient voter mercredi pour la première phase du scrutin triennal.