Le 8 juin 2013, le Danube montait à 8,91 mètres au cœur de Budapest. Une stèle installée sur la place Batthyany, côté collines de Buda, face au Parlement, honore la mémoire de l’entraide face à cette crue record du deuxième plus long fleuve d’Europe. Onze ans plus tard, la capitale hongroise semble plus sereine face aux inondations consécutives au passage de la tempête Boris, qui a fait seize morts en Europe centrale, tandis que les villes de Komarom et d’Esztergom, à la frontière avec la Slovaquie, « devraient connaître leur pic de crue ce vendredi » 20 septembre, note Portefeuille.
“Le niveau maximum sera de 50 centimètres inférieur à celui de 2013 (…). Il faut tenir jusqu’à jeudi (26), et on y arrivera à peu de frais, même si la situation est grave”, a-t-il ajouté. a voulu rassurer le Premier ministre, Viktor Orban, le 20 septembre, cité par le journal Vilaggazdasag. « Les dégâts sur les terres agricoles ne sont pas importants. L’État contribuera à l’indemnisation, mais les assureurs devront prendre en charge les maisons construites dans les zones inondables », il a ajouté.
Une île « coupée du monde »
Les rives de Budapest « ont été engloutis », eau « lécher le Parlement » (protégé par deux énormes portes en fer) et « p
Le 8 juin 2013, le Danube montait à 8,91 mètres au cœur de Budapest. Une stèle installée sur la place Batthyany, côté collines de Buda, face au Parlement, honore la mémoire de l’entraide face à cette crue record du deuxième plus long fleuve d’Europe. Onze ans plus tard, la capitale hongroise semble plus sereine face aux inondations consécutives au passage de la tempête Boris, qui a fait seize morts en Europe centrale, tandis que les villes de Komarom et d’Esztergom, à la frontière avec la Slovaquie, « devraient connaître leur pic de crue ce vendredi » 20 septembre, note Portefeuille.
“Le niveau maximum sera de 50 centimètres inférieur à celui de 2013 (…). Il faut tenir jusqu’à jeudi (26), et on y arrivera à peu de frais, même si la situation est grave”, a-t-il ajouté. a voulu rassurer le Premier ministre, Viktor Orban, le 20 septembre, cité par le journal Vilaggazdasag. « Les dégâts sur les terres agricoles ne sont pas importants. L’État contribuera à l’indemnisation, mais les assureurs devront prendre en charge les maisons construites dans les zones inondables », il a ajouté.
Une île « coupée du monde »
Les rives de Budapest « ont été engloutis », eau « lécher le Parlement » (protégé par deux énormes portes en fer) et « p