« SSi je te croise dans la rue, je te casse le nez, sale juif ! ! ! », « Vive les camps ! Vive la Shoah ! Vive l’Allemagne nazie ! salut Hitler ! », « Je te déteste toi et ta sale race ! ! ! “. Nous sommes en 2014. Myriam A. travaille alors pour une association œuvrant pour la mémoire des victimes de la Shoah et se rend régulièrement dans un café proche de son lieu de travail où elle rencontre B., le barman. À plusieurs reprises, Myriam est contrainte pour décliner les avances de cet homme insistant, qui l’invite à boire un café ou à sortir entre le 30 mai et le 1er mai.euh Juin 2014, Myriam, 35 ans à l’époque, reçoit alors 26 mails de B., contenant des insultes, des menaces de violences, de viol, de mort et certains accompagnés de propos antisémites. Le dernier message est…