« Doit-on vraiment donner de la place à un candidat qui a montré dès le départ que son objectif était de perturber le processus électoral ? » Pour un éditorialiste de l’hebdomadaire brésilien Voir, La question mérite d’être posée à propos de Pablo Marçal, un influenceur controversé de 37 ans qui se présente à la mairie de São Paulo et qui monopolise l’attention de toute la presse du pays.
En seulement un mois de campagne, cette figure montante de l’extrême droite brésilienne est devenue l’une des favorites de l’élection, dont le premier tour aura lieu le 6 octobre, siphonnant des voix au maire conservateur sortant, Ricardo Nunes, qui a pourtant reçu le soutien officiel de l’ancien président populiste Jair Bolsonaro.
Pour un chroniqueur de L’interception Brésil, « C’est une guerre fratricide pour le butin politique et électoral du bolsonarisme » qui se déroule dans la capitale économique brésilienne « en vue de la prochaine élection présidentielle » de 2026, à laquelle l’ancien leader, inéligible jusqu’en 2030, ne pourra pas se présenter.
Le sondage de l’Institut Quaest publié le 18 septembre lui attribue 20% des intentions de vote, contre 24% pour le conseiller municipal et 23% pour le député fédéral de gauche Guilherme Boulos, soutenu par
« Doit-on vraiment donner de la place à un candidat qui a montré dès le départ que son objectif était de perturber le processus électoral ? » Pour un éditorialiste de l’hebdomadaire brésilien Voir, La question mérite d’être posée à propos de Pablo Marçal, un influenceur controversé de 37 ans qui se présente à la mairie de São Paulo et qui monopolise l’attention de toute la presse du pays.
En seulement un mois de campagne, cette figure montante de l’extrême droite brésilienne est devenue l’une des favorites de l’élection, dont le premier tour aura lieu le 6 octobre, siphonnant des voix au maire conservateur sortant, Ricardo Nunes, qui a pourtant reçu le soutien officiel de l’ancien président populiste Jair Bolsonaro.
Pour un chroniqueur de L’interception Brésil, « C’est une guerre fratricide pour le butin politique et électoral du bolsonarisme » qui se déroule dans la capitale économique brésilienne « en vue de la prochaine élection présidentielle » de 2026, à laquelle l’ancien leader, inéligible jusqu’en 2030, ne pourra pas se présenter.
Le sondage de l’Institut Quaest publié le 18 septembre lui attribue 20% des intentions de vote, contre 24% pour le conseiller municipal et 23% pour le député fédéral de gauche Guilherme Boulos, soutenu par