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Durée de la vidéo : 1 min
Soulagement pour le gouvernement, la note de la dette souveraine française reste inchangĂ©e. Les agences Fitch et Moody’s ont publiĂ© leur notation vendredi 26 avril.
AA-, deux lettres et une annonce inattendue des agences de notation concernant la dette française. MalgrĂ© un dĂ©ficit public qui glisse en 2023 Ă 5,5%, et malgrĂ© une dette de plus de 110% du PIB, les agences renouvellent leur confiance Ă la France. Une notation maintenue qui devrait permettre Ă la France d’emprunter sur les marchĂ©s Ă des taux toujours avantageux. « Nous maintiendrons notre stratĂ©gie basĂ©e sur la croissance, le plein emploi, les rĂ©formes structurelles et la rĂ©duction des dĂ©penses publiques »assure le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire dans un communiquĂ©.
Une troisième note en attente
Ces mesures, comme la rĂ©forme de l’assurance chĂ´mage ou la rĂ©duction des dĂ©penses administratives, annoncĂ©es par le gouvernement, ont rassurĂ© les agences de notation. « Ce fameux axe d’une possible dĂ©gradation de la note française, il n’est pas exclu qu’il revienne sur la table lors de la prochaine rĂ©vision de la note », nuance l’Ă©conomiste Christophe Dembik. Fin mai, une troisième agence doit Ă©galement rendre sa notation sur la dette française.
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Soulagement pour le gouvernement, la note de la dette souveraine française reste inchangĂ©e. Les agences Fitch et Moody’s ont publiĂ© leur notation vendredi 26 avril.
AA-, deux lettres et une annonce inattendue des agences de notation concernant la dette française. MalgrĂ© un dĂ©ficit public qui glisse en 2023 Ă 5,5%, et malgrĂ© une dette de plus de 110% du PIB, les agences renouvellent leur confiance Ă la France. Une notation maintenue qui devrait permettre Ă la France d’emprunter sur les marchĂ©s Ă des taux toujours avantageux. « Nous maintiendrons notre stratĂ©gie basĂ©e sur la croissance, le plein emploi, les rĂ©formes structurelles et la rĂ©duction des dĂ©penses publiques »assure le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire dans un communiquĂ©.
Une troisième note en attente
Ces mesures, comme la rĂ©forme de l’assurance chĂ´mage ou la rĂ©duction des dĂ©penses administratives, annoncĂ©es par le gouvernement, ont rassurĂ© les agences de notation. « Ce fameux axe d’une possible dĂ©gradation de la note française, il n’est pas exclu qu’il revienne sur la table lors de la prochaine rĂ©vision de la note », nuance l’Ă©conomiste Christophe Dembik. Fin mai, une troisième agence doit Ă©galement rendre sa notation sur la dette française.