« Dans les années 1950, j’ai été piqué, comme beaucoup d’autres enfants, par le virus du cow-boy. » avoue le dessinateur, plutôt rarement dans les interviews, à laObservatoire des arts de l’Oregon.
Mais Glisser ce n’est pas un film « pour les enfants », prévient Bill Plympton. « C’est très différent de tous les autres westerns que vous avez pu voir. C’est très, très étrange, très tordu. »
« Il y a beaucoup de violence. Il y a beaucoup de prostituées et de scènes de sexe animées. »
« Dans les années 1950, j’ai été piqué, comme beaucoup d’autres enfants, par le virus du cow-boy. » avoue le dessinateur, plutôt rarement dans les interviews, à laObservatoire des arts de l’Oregon.
Mais Glisser ce n’est pas un film « pour les enfants », prévient Bill Plympton. « C’est très différent de tous les autres westerns que vous avez pu voir. C’est très, très étrange, très tordu. »
« Il y a beaucoup de violence. Il y a beaucoup de prostituées et de scènes de sexe animées. »