Bruno Retailleau à l’Intérieur, Annie Genevard à l’Agriculture, Anne Genetet à l’Education… Plus de deux mois après la démission du gouvernement Attal le 16 juillet dernier, la France a enfin son nouveau gouvernement. Et il n’y a pas de doute, il est « Une France à droite » que Emmanuel Macron et Michel Barnier ont choisi de diriger, résume Le temps de Suisse.
Annoncée officiellement samedi 21 septembre au soir, la composition du gouvernement avait largement fuité la veille, après qu’une première liste de 38 noms – dont 16 ministres de plein exercice – avait été soumise par Michel Barnier. Après des « ajustements » de dernière minute, on sait désormais que le gouvernement est composé quasi exclusivement de ministres de droite et du centre – le Modem avait hésité à y participer, avant de changer d’avis.
La grande absente du gouvernement Barnier est la gauche – à l’exception du socialiste et président de la Cour des comptes Didier Migaud, qui hérite de la Justice. Arrivé en tête aux législatives, le Nouveau Front populaire – qui occupe 193 sièges à l’Assemblée nationale, contre 143 pour le RN – est toujours furieux. « Les perdants se sont alliés sous la direction des titulaires »a déploré Jean-Luc Mélenchon, président du groupe LFI à
Bruno Retailleau à l’Intérieur, Annie Genevard à l’Agriculture, Anne Genetet à l’Education… Plus de deux mois après la démission du gouvernement Attal le 16 juillet dernier, la France a enfin son nouveau gouvernement. Et il n’y a pas de doute, il est « Une France à droite » que Emmanuel Macron et Michel Barnier ont choisi de diriger, résume Le temps de Suisse.
Annoncée officiellement samedi 21 septembre au soir, la composition du gouvernement avait largement fuité la veille, après qu’une première liste de 38 noms – dont 16 ministres de plein exercice – avait été soumise par Michel Barnier. Après des « ajustements » de dernière minute, on sait désormais que le gouvernement est composé quasi exclusivement de ministres de droite et du centre – le Modem avait hésité à y participer, avant de changer d’avis.
La grande absente du gouvernement Barnier est la gauche – à l’exception du socialiste et président de la Cour des comptes Didier Migaud, qui hérite de la Justice. Arrivé en tête aux législatives, le Nouveau Front populaire – qui occupe 193 sièges à l’Assemblée nationale, contre 143 pour le RN – est toujours furieux. « Les perdants se sont alliés sous la direction des titulaires »a déploré Jean-Luc Mélenchon, président du groupe LFI à