La France a “Enfin” d’un nouveau gouvernement, note Le mondeEmmanuel Macron a nommé samedi 21 septembre les 39 membres du gouvernement de Michel Barnier, “quinze jours” après la nomination par le président de la République de ce conservateur au poste de Premier ministre, « et plus de deux mois après les élections législatives qui ont laissé l’Assemblée nationale fragmentée et plongé le pays dans le chaos politique ».
« Il a été difficile de former ce gouvernement, le premier gouvernement de coalition que la France ait eu »révélé « quelques heures » après une manifestation de plusieurs milliers de partisans de gauche samedi après-midi à Paris contre le tandem Macron-Barnier.
Michel Barnier a officialisé son équipe « dans la douleur »abonde Le temps. Ça a pris « Deux semaines de négociations avec les différents blocs pour nommer 39 ministres »dont 17 employés à temps plein, souligne le Washington Post.
“Vulnérabilité”
L’attelage est « marqué à droite », « plus que le précédent » dirigée par Gabriel Attal, note Le monde : « la majorité » ministres représentent ce bloc. Seul hic de la gauche : Didier Migaud à la Justice. Et ce malgré la première place du bloc de gauche à l’issue des législatives de juin. Mais ses représentants « Je ne voulais pas en faire partie » de l’équipe de Michel Barnier, rappelle le journal.
Ce qui est le plus frappant Le monde à propos de la nouvelle équipe, « dont on ne sait pas combien de temps » elle prendra en compte « l’insolite » L’instabilité politique que connaît le pays est que c’est la « Le gouvernement le plus fragile depuis des décennies »et même « le plus fragile des Vet République”.
Le journal souligne que sa durée de vie dépendra du Rassemblement national. « Ce dirigeant ne restera peut-être pas longtemps et, en réalité, cela dépendra de la façon dont (le leader de l’extrême droite) Marine Le Pen veut le faire tomber ou pas, en soutenant la motion de censure annoncée par la gauche.
Ce gouvernement « est transitoire. (…) La grande alternative que nous proposons, c’est que nous continuerons à nous préparer à laisser la France se rebeller »a réagi Marine Le Pen samedi après l’annonce de sa composition. « Ce « nouveau » gouvernement signale un retour au macronisme par la porte arrière. (…) C’est un gouvernement qui n’a pas d’avenir »a déclaré Jordan Bardella, président du parti.
Menaces de groupes d’extrême droite « a mis en évidence la vulnérabilité » de l’équipe de Michel Barnier, décrypte le Washington Post.
« Des mois d’incertitude politique »
LE Washington Post rappelle que depuis les élections anticipées de juillet, la France, qui n’avait qu’un gouvernement intérimaire, a connu « Des mois d’incertitude politique, voire d’acrimonie ». « Cette incertitude prolongée a laissé (le pays) sans gouvernail. (Il) « Le gouvernement n’a pas été en mesure de faire avancer le budget 2025 ni de remédier à un déficit budgétaire croissant. L’interrègne a également permis aux animosités de s’envenimer. »
Michel Barnier a jugé mercredi la situation budgétaire “très grave”Il réunira lundi après-midi son gouvernement autour d’Emmanuel Macron pour son premier Conseil des ministres.
La France a “Enfin” d’un nouveau gouvernement, note Le mondeEmmanuel Macron a nommé samedi 21 septembre les 39 membres du gouvernement de Michel Barnier, “quinze jours” après la nomination par le président de la République de ce conservateur au poste de Premier ministre, « et plus de deux mois après les élections législatives qui ont laissé l’Assemblée nationale fragmentée et plongé le pays dans le chaos politique ».
« Il a été difficile de former ce gouvernement, le premier gouvernement de coalition que la France ait eu »révélé « quelques heures » après une manifestation de plusieurs milliers de partisans de gauche samedi après-midi à Paris contre le tandem Macron-Barnier.
Michel Barnier a officialisé son équipe « dans la douleur »abonde Le temps. Ça a pris « Deux semaines de négociations avec les différents blocs pour nommer 39 ministres »dont 17 employés à temps plein, souligne le Washington Post.
“Vulnérabilité”
L’attelage est « marqué à droite », « plus que le précédent » dirigée par Gabriel Attal, note Le monde : « la majorité » ministres représentent ce bloc. Seul hic de la gauche : Didier Migaud à la Justice. Et ce malgré la première place du bloc de gauche à l’issue des législatives de juin. Mais ses représentants « Je ne voulais pas en faire partie » de l’équipe de Michel Barnier, rappelle le journal.
Ce qui est le plus frappant Le monde à propos de la nouvelle équipe, « dont on ne sait pas combien de temps » elle prendra en compte « l’insolite » L’instabilité politique que connaît le pays est que c’est la « Le gouvernement le plus fragile depuis des décennies »et même « le plus fragile des Vet République”.
Le journal souligne que sa durée de vie dépendra du Rassemblement national. « Ce dirigeant ne restera peut-être pas longtemps et, en réalité, cela dépendra de la façon dont (le leader de l’extrême droite) Marine Le Pen veut le faire tomber ou pas, en soutenant la motion de censure annoncée par la gauche.
Ce gouvernement « est transitoire. (…) La grande alternative que nous proposons, c’est que nous continuerons à nous préparer à laisser la France se rebeller »a réagi Marine Le Pen samedi après l’annonce de sa composition. « Ce « nouveau » gouvernement signale un retour au macronisme par la porte arrière. (…) C’est un gouvernement qui n’a pas d’avenir »a déclaré Jordan Bardella, président du parti.
Menaces de groupes d’extrême droite « a mis en évidence la vulnérabilité » de l’équipe de Michel Barnier, décrypte le Washington Post.
« Des mois d’incertitude politique »
LE Washington Post rappelle que depuis les élections anticipées de juillet, la France, qui n’avait qu’un gouvernement intérimaire, a connu « Des mois d’incertitude politique, voire d’acrimonie ». « Cette incertitude prolongée a laissé (le pays) sans gouvernail. (Il) « Le gouvernement n’a pas été en mesure de faire avancer le budget 2025 ni de remédier à un déficit budgétaire croissant. L’interrègne a également permis aux animosités de s’envenimer. »
Michel Barnier a jugé mercredi la situation budgétaire “très grave”Il réunira lundi après-midi son gouvernement autour d’Emmanuel Macron pour son premier Conseil des ministres.