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Durée de la vidéo : 2 minutes
Vendredi 26 avril, des étudiants de Sciences Po Paris ont bloqué leur école pour soutenir les Palestiniens. Samedi, Gabriel Attal a assuré qu’il n’y aurait “jamais de tolérance” pour les blocages. Le Premier ministre accuse La France insoumise d’être à l’origine de la manifestation.
Au lendemain du blocus de Sciences Po Paris par des étudiants favorables à la Palestine, le Premier ministre s’est voulu ferme, samedi 27 avril. « Il n’y aura jamais de droit de blocage, jamais de tolérance face à l’action d’une minorité active, dangereuse, qui cherche à imposer ses règles, une idéologie d’outre-atlantique à ses élèves et à nos professeurs », a déclaré Gabriel Attal. La veille, les étudiants avaient exigé la fin des partenariats de l’école avec des entreprises soutenant la politique israélienne. Une manifestation sans heurts, jusqu’à l’arrivée des militants pro-israéliens. Un accord a finalement été trouvé entre la direction et les étudiants. Les manifestants ont ainsi levé le blocus.
La France insoumise accusée par la droite et le gouvernement
Les élus de La France insoumise présents sur place salués “Une victoire”mais le gouvernement dénonce l’implication du parti dans cette action. “Hier, nous avons assisté au spectacle déchirant, choquant d’une minorité agitée par les forces politiques, et notamment La France insoumise, (cherchant) à perturber le fonctionnement de cette institution”, a encore déclaré Gabriel Attal. La droite accuse également les rebelles d’exploiter les étudiants.
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Vendredi 26 avril, des étudiants de Sciences Po Paris ont bloqué leur école pour soutenir les Palestiniens. Samedi, Gabriel Attal a assuré qu’il n’y aurait “jamais de tolérance” pour les blocages. Le Premier ministre accuse La France insoumise d’être à l’origine de la manifestation.
Au lendemain du blocus de Sciences Po Paris par des étudiants favorables à la Palestine, le Premier ministre s’est voulu ferme, samedi 27 avril. « Il n’y aura jamais de droit de blocage, jamais de tolérance face à l’action d’une minorité active, dangereuse, qui cherche à imposer ses règles, une idéologie d’outre-atlantique à ses élèves et à nos professeurs », a déclaré Gabriel Attal. La veille, les étudiants avaient exigé la fin des partenariats de l’école avec des entreprises soutenant la politique israélienne. Une manifestation sans heurts, jusqu’à l’arrivée des militants pro-israéliens. Un accord a finalement été trouvé entre la direction et les étudiants. Les manifestants ont ainsi levé le blocus.
La France insoumise accusée par la droite et le gouvernement
Les élus de La France insoumise présents sur place salués “Une victoire”mais le gouvernement dénonce l’implication du parti dans cette action. “Hier, nous avons assisté au spectacle déchirant, choquant d’une minorité agitée par les forces politiques, et notamment La France insoumise, (cherchant) à perturber le fonctionnement de cette institution”, a encore déclaré Gabriel Attal. La droite accuse également les rebelles d’exploiter les étudiants.