P.notre Platon (c. 428-348 avant JC), il était « l’image animée de l’éternité », quand Lucrèce (c. 94-54 avant JC), en De rerum natura, ne reconnaissait aucune « existence en tant que telle ». Quant à saint Augustin (354-430), il expose, dans son Aveux, l’un de ses paradoxes majeurs : « Comment alors (…) le passé et le futur sont-ils puisque le passé n’est plus et le futur n’est pas encore ? Quant au présent, s’il était toujours présent, s’il ne rejoignait pas le passé, ce ne serait pas le temps, ce serait l’éternité. »
Depuis la nuit des temps, de nombreux penseurs se sont penchés sur la question du temps afin de comprendre une notion… indéfinissable. Dans cette mini-série, Indiquer se concentre sur quelques anecdotes physico-temporelles, souvent contre-intuitives…