Les États membres de l’ONU se sont engagés, dimanche 22 septembre, à adopter une série de mesures destinées à fournir « un avenir meilleur ” pour l’humanité. Le texte promet notamment de réformer le Conseil de sécurité, en y renforçant la place de l’Afrique.
Le Secrétaire Général de laONU Antonio Guterres avait lancé l’idée de ce « Sommet du futur » présenté comme un « opportunité unique « changer le cours de l’histoire humaine ». Nous avons ouvert la porte, il nous appartient désormais à tous de la franchir, car il ne s’agit pas seulement d’un accord, mais d’une action. Et aujourd’hui, je vous mets au défi d’agir. “, a-t-il déclaré ce dimanche à la tribune des Nations Unies après l’adoption du texte.
Après d’âpres négociations jusqu’au dernier moment, il avait préparé plusieurs versions de son discours en cas d’échec de ce sommet qui ouvre la grand-messe annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU où plus de 130 chefs d’État et de gouvernement se relaieront à la tribune à partir du 24 septembre. Sans empêcher l’adoption du pacte, la Russie, soutenue par la Biélorussie, l’Iran, la Corée du Nord, le Nicaragua et la Syrie, a affiché son opposition au texte, exigeant en vain d’ajouter des éléments soulignant que l’ONU « ne peut pas se permettre de faire cela ». ne peut pas intervenir “en affaires” interne » des États.
Une liste d’actions et de réformes
Lire la suite sur RFI