“Je ne pense pas que ce soit une décision que la maire de Paris puisse prendre seule”, a déclaré le ministre dans son premier entretien au quotidien Le Parisien.
“J’ai l’intention d’échanger sur le sujet avec la maire de Paris car le périphérique n’est pas seulement l’infrastructure des Parisiens”, a insisté M. Durovray, qui présidait le conseil départemental de l’Essonne, au sud de Paris, jusqu’à sa nomination samedi.
Anne Hidalgo veut réduire la vitesse maximale de 70 km/h à 50 km/h sur cette autoroute urbaine de 35 km qui fait le tour de la capitale, afin de réduire les nuisances sonores et la pollution de l’air.
Alternatives
Elle assure être en mesure de prendre cette décision seule et n’avoir pas attendu l’avis de l’État, qui affirme avoir son mot à dire. La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a également fait part de son désaccord avec cette mesure, réclamant la pose de revêtements insonorisants autour du périphérique pour limiter le bruit.
C’est une démarche “qui apporte des réponses très positives”, a soutenu M. Durovray, proche de Valérie Pécresse et qui siégeait au conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités (IDFM), le syndicat des transports franciliens.
“Il faut aussi, sans doute, travailler sur les questions d’offres de transport alternatives. Cela ne sert à rien de restreindre la circulation s’il n’y a pas d’alternatives”, a poursuivi le ministre.
Sur la mise en place d’une voie réservée au covoiturage sur le périphérique voulue par Anne Hidalgo, il a aussi appelé à prendre du temps : “L’offre n’est pas tout à fait mature” pour le covoiturage dans la région, a-t-il assuré.
“Je ne pense pas que ce soit une décision que la maire de Paris puisse prendre seule”, a déclaré le ministre dans son premier entretien au quotidien Le Parisien.
“J’ai l’intention d’échanger sur le sujet avec la maire de Paris car le périphérique n’est pas seulement l’infrastructure des Parisiens”, a insisté M. Durovray, qui présidait le conseil départemental de l’Essonne, au sud de Paris, jusqu’à sa nomination samedi.
Anne Hidalgo veut réduire la vitesse maximale de 70 km/h à 50 km/h sur cette autoroute urbaine de 35 km qui fait le tour de la capitale, afin de réduire les nuisances sonores et la pollution de l’air.
Alternatives
Elle assure être en mesure de prendre cette décision seule et n’avoir pas attendu l’avis de l’État, qui affirme avoir son mot à dire. La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a également fait part de son désaccord avec cette mesure, réclamant la pose de revêtements insonorisants autour du périphérique pour limiter le bruit.
C’est une démarche “qui apporte des réponses très positives”, a soutenu M. Durovray, proche de Valérie Pécresse et qui siégeait au conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités (IDFM), le syndicat des transports franciliens.
“Il faut aussi, sans doute, travailler sur les questions d’offres de transport alternatives. Cela ne sert à rien de restreindre la circulation s’il n’y a pas d’alternatives”, a poursuivi le ministre.
Sur la mise en place d’une voie réservée au covoiturage sur le périphérique voulue par Anne Hidalgo, il a aussi appelé à prendre du temps : “L’offre n’est pas tout à fait mature” pour le covoiturage dans la région, a-t-il assuré.