Ils ont l’alias « le voyageur », « le patriarche », « Rodriguez », « Taylor », « Akoshi »… Ils sont officiers, journalistes, anciens élus, et auraient aussi fréquenté des marabouts ou des commerçants. En plus d’attirer « Nouveaux terroristes » dans leur entreprise, « recruter 500 mercenaires d’un pays européen pour des attaques de grande envergure sur Ouagadougou visant à semer la terreur. » Leur objectif : renverser le président Ibrahim Traoré.
Dans une intervention de près de dix minutes sur la chaîne publique burkinabè, le 23 septembre au soir, le ministre burkinabè de la Sécurité, Mahamoudou Sana, a détaillé un vaste complot visant à déstabiliser le pouvoir en place. Celui-ci a été ourdi notamment depuis Abidjan (Côte d’Ivoire), avec « Réunions de planification au Ghana » et la concurrence de « certains services de renseignement des puissances occidentales » ainsi que des éléments de groupes jihadistes sahéliens affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation État islamique.
“Ces « déstabilisateurs » devaient mener plusieurs actions dont l’attaque du palais présidentiel de Koulouba (à Ouagadougou), (sur) la base de drones militaires, l’aéroport, des attaques dans la zone de Mangodara (
Ils ont l’alias « le voyageur », « le patriarche », « Rodriguez », « Taylor », « Akoshi »… Ils sont officiers, journalistes, anciens élus, et auraient aussi fréquenté des marabouts ou des commerçants. En plus d’attirer « Nouveaux terroristes » dans leur entreprise, « recruter 500 mercenaires d’un pays européen pour des attaques de grande envergure sur Ouagadougou visant à semer la terreur. » Leur objectif : renverser le président Ibrahim Traoré.
Dans une intervention de près de dix minutes sur la chaîne publique burkinabè, le 23 septembre au soir, le ministre burkinabè de la Sécurité, Mahamoudou Sana, a détaillé un vaste complot visant à déstabiliser le pouvoir en place. Celui-ci a été ourdi notamment depuis Abidjan (Côte d’Ivoire), avec « Réunions de planification au Ghana » et la concurrence de « certains services de renseignement des puissances occidentales » ainsi que des éléments de groupes jihadistes sahéliens affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation État islamique.
“Ces « déstabilisateurs » devaient mener plusieurs actions dont l’attaque du palais présidentiel de Koulouba (à Ouagadougou), (sur) la base de drones militaires, l’aéroport, des attaques dans la zone de Mangodara (