Depuis lundi 23 septembre, le nouveau gouvernement français, tant attendu à l’intérieur et à l’extérieur des frontières de l’Hexagone, est enfin au travail. Et force est de constater qu’entre le premier conseil des ministres, les passations de pouvoir et les premières interviews, le ton est donné, constate la presse étrangère. « Le gouvernement se met au travail en affichant immédiatement son orientation de droite », observé Le Pays à Madrid.
Et qui mieux que le nouveau ministre de l’Intérieur, dont la photo accompagne de nombreux articles ce mardi, pour incarner ce changement ? Bruno Retailleau, « un catholique conservateur qui fut pendant des années sénateur de l’aile dure du parti de droite de Nicolas Sarkozy », souviens-toi Le Gardien à Londres.
Si l’on cherche un symbole du virage à droite du nouveau gouvernement français, c’est bien lui, précise le quotidien. Le sénateur vendéen, longtemps membre des Républicains, a grandi dans les pas de Philippe de Villiers. Il a même été cavalier au Puy du Fou − où il était également en charge de la direction artistique de certains spectacles.
Intransigeant et conservateur
C’est aussi Bruno Retailleau qui, pour l’instant, attire l’attention. Parmi les discours de passation, explique Le Paysson
Depuis lundi 23 septembre, le nouveau gouvernement français, tant attendu à l’intérieur et à l’extérieur des frontières de l’Hexagone, est enfin au travail. Et force est de constater qu’entre le premier conseil des ministres, les passations de pouvoir et les premières interviews, le ton est donné, constate la presse étrangère. « Le gouvernement se met au travail en affichant immédiatement son orientation de droite », observé Le Pays à Madrid.
Et qui mieux que le nouveau ministre de l’Intérieur, dont la photo accompagne de nombreux articles ce mardi, pour incarner ce changement ? Bruno Retailleau, « un catholique conservateur qui fut pendant des années sénateur de l’aile dure du parti de droite de Nicolas Sarkozy », souviens-toi Le Gardien à Londres.
Si l’on cherche un symbole du virage à droite du nouveau gouvernement français, c’est bien lui, précise le quotidien. Le sénateur vendéen, longtemps membre des Républicains, a grandi dans les pas de Philippe de Villiers. Il a même été cavalier au Puy du Fou − où il était également en charge de la direction artistique de certains spectacles.
Intransigeant et conservateur
C’est aussi Bruno Retailleau qui, pour l’instant, attire l’attention. Parmi les discours de passation, explique Le Paysson