Le Sommet pour l’avenir s’est ouvert le 22 septembre au siège des Nations Unies à New York. À cette occasion, les dirigeants mondiaux ont adopté le Pacte pour l’avenir, qui comprend : « corriger certaines injustices en permettant à l’Afrique de jouer un plus grand rôle », noté Le Pays.
Un appel à « revitaliser le multilatéralisme », Et « un Sommet du Futur qui représente une opportunité rare de conjurer un avenir incertain », continue, un peu lyriquement, le titre burkinabé.
Parmi les questions que ce sommet devra poser figure celle d’une meilleure représentation de l’Afrique dans la gouvernance mondiale. En d’autres termes, l’Afrique va-t-elle enfin entrer dans la « Saint des Saints », le Conseil de sécurité, en se voyant attribuer deux sièges permanents ? C’est la question qui occupe la presse africaine et internationale.
Une structure globale anachronique
La question d’une plus grande présence africaine a été directement évoquée par le président kenyan lors d’un discours à l’Assemblée générale des Nations Unies le 22 septembre. « Nous devons remédier à l’injustice historique que constitue l’absence de représentation permanente de l’Afrique au Conseil de sécurité de l’ONU en la traitant comme une question de droit.
Le Sommet pour l’avenir s’est ouvert le 22 septembre au siège des Nations Unies à New York. À cette occasion, les dirigeants mondiaux ont adopté le Pacte pour l’avenir, qui comprend : « corriger certaines injustices en permettant à l’Afrique de jouer un plus grand rôle », noté Le Pays.
Un appel à « revitaliser le multilatéralisme », Et « un Sommet du Futur qui représente une opportunité rare de conjurer un avenir incertain », continue, un peu lyriquement, le titre burkinabé.
Parmi les questions que ce sommet devra poser figure celle d’une meilleure représentation de l’Afrique dans la gouvernance mondiale. En d’autres termes, l’Afrique va-t-elle enfin entrer dans la « Saint des Saints », le Conseil de sécurité, en se voyant attribuer deux sièges permanents ? C’est la question qui occupe la presse africaine et internationale.
Une structure globale anachronique
La question d’une plus grande présence africaine a été directement évoquée par le président kenyan lors d’un discours à l’Assemblée générale des Nations Unies le 22 septembre. « Nous devons remédier à l’injustice historique que constitue l’absence de représentation permanente de l’Afrique au Conseil de sécurité de l’ONU en la traitant comme une question de droit.