L’un des objectifs affichés des organisateurs était d’inciter les gens à faire plus de sport dans la foulée des Jeux olympiques. De nombreux programmes ont été financés pour assurer cet « héritage », comme « 1, 2, 3 Nagez ! » et ses cours de natation gratuits ou les trente minutes d’activité physique quotidienne encouragées dans toutes les écoles.
Dans les clubs, l’effet se fait sentir, notamment dans les sports où les sportifs français ont particulièrement brillé, comme la natation, le tennis de table ou le judo. Dans cette vidéo, Hugo Caillarec, maître d’armes dans les clubs d’escrime de Seine-Saint-Denis, estime que cet engouement ” massif “ Cela s’explique par le fait que les Jeux se déroulaient à domicile. Avec leurs sept médailles, les escrimeurs français ont créé l’enthousiasme autour d’un sport peu médiatisé. Pourtant, plusieurs études montrent que, sur le long terme, les bonnes résolutions ne durent pas.
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Opération « Terrains de jeux »
Ce reportage a été réalisé dans le cadre du projet « Playgrounds », soutenu par Visa, partenaire mondial des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Jusqu’en novembre 2024, huit jeunes, accompagnés de journalistes de Monderacontent l’année olympique vue depuis la Seine-Saint-Denis sous forme d’articles, de vidéos et de podcasts. Ils ont été repérés par l’association Sport dans la ville dans le cadre d’un partenariat avec Visa dont l’objectif est de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes des quartiers prioritaires. La rédaction de Monde est responsable du choix des sujets et du contenu éditorial.
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