Les intrigues politiques pour garantir un second mandat à Kaïs Saïed dès le premier tour ne cessent de se multiplier. A quelques jours de l’élection présidentielle du 6 octobre, en Tunisie, un projet de loi dit « urgent » vise à transférer la compétence du contentieux électoral du tribunal administratif à la Cour d’appel.
La polémique, observe le site d’information tunisien Webdo, fait suite au refus de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Elections (ISIE) d’appliquer les décisions du Tribunal Administratif relatives à la réintégration de trois candidats exclus de la course présidentielle.
Les 34 députés signataires du projet de loi estiment que ces désaccords « laissent présager d’éventuelles crises et d’un danger imminent menaçant le processus électoral. » Pour ces derniers, il a donc fallu modifier la loi électorale afin « garantir l’unité du système judiciaire ».
Eviter tout litige
En fait, cette décision anticipe une invalidation très probable des résultats
Les intrigues politiques pour garantir un second mandat à Kaïs Saïed dès le premier tour ne cessent de se multiplier. A quelques jours de l’élection présidentielle du 6 octobre, en Tunisie, un projet de loi dit « urgent » vise à transférer la compétence du contentieux électoral du tribunal administratif à la Cour d’appel.
La polémique, observe le site d’information tunisien Webdo, fait suite au refus de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Elections (ISIE) d’appliquer les décisions du Tribunal Administratif relatives à la réintégration de trois candidats exclus de la course présidentielle.
Les 34 députés signataires du projet de loi estiment que ces désaccords « laissent présager d’éventuelles crises et d’un danger imminent menaçant le processus électoral. » Pour ces derniers, il a donc fallu modifier la loi électorale afin « garantir l’unité du système judiciaire ».
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En fait, cette décision anticipe une invalidation très probable des résultats