UN « interdiction formelle de communiquer des informations ou des commentaires sur la famille », qui constitue une règle que Bernard Arnault promet d’être “intraitable”. « Tout manquement serait un manque de loyauté intolérable ».
Ce sont les instructions données par Bernard Arnault dans une lettre adressée la semaine dernière aux dirigeants du groupe LVMH, dont le contenu est rapporté par Le Télégraphe. Une lettre qui devait rester confidentielle, mais qui a finalement été rendue publique par La lettrel’un des sept médias visés par l’interdiction. Selon le milliardaire, ces journaux prétendent être des journaux d’investigation, mais «utiliser l’attrait du public pour le luxe pour attirer un nouveau lectorat de manière osée”.
« La colère des journalistes français »
Cette missive, rappellent les médias londoniens, « a suscité la colère des journalistes français, qui ont accusé l’homme le plus riche d’Europe (dans une lettre ouverte publiée par Le Monde) de vouloir priver ses collaborateurs de leur liberté d’expression. ».
Un texte dans lequel Arnault est également accusé d’être illégal, car il essaierait « pour contrecarrer les dispositions protectrices des lanceurs d’alerte ». Ainsi, résume le quotidien conservateur, « L’homme le plus riche d’Europe est parti en guerre contre les journalistes français » et avec des mots à peine plus prudents, le Frankfurter Allgemeine Zeitung ne dis rien d’autre.
« Le milliardaire Bernard Arnault interdit formellement à ses collègues de s’adresser à certains médias. Une demande insultante », écrit ce quotidien allemand, qui appuie ensuite son argumentation.
« Une médaille pour l’indépendance journalistique »
« Que les entreprises cherchent à contrôler leur communication est normal et, dans une certaine mesure, légitime, concède le journal de Francfort. Ce qui est inhabituel, c’est l’établissement de listes noires et le ton méprisant avec lequel Arnault disqualifie les titres cités, les dénigrant comme étant sites dits d’investigation“.
Une grossière erreur de la part du milliardaire, conclut le quotidien conservateur, puisque « Cette affaire va sûrement se retourner contre lui, et cette dénonciation publique d’Arnault va se transformer en médaille de l’indépendance journalistique pour les sept médias concernés. ».
UN « interdiction formelle de communiquer des informations ou des commentaires sur la famille », qui constitue une règle que Bernard Arnault promet d’être “intraitable”. « Tout manquement serait un manque de loyauté intolérable ».
Ce sont les instructions données par Bernard Arnault dans une lettre adressée la semaine dernière aux dirigeants du groupe LVMH, dont le contenu est rapporté par Le Télégraphe. Une lettre qui devait rester confidentielle, mais qui a finalement été rendue publique par La lettrel’un des sept médias visés par l’interdiction. Selon le milliardaire, ces journaux prétendent être des journaux d’investigation, mais «utiliser l’attrait du public pour le luxe pour attirer un nouveau lectorat de manière osée”.
« La colère des journalistes français »
Cette missive, rappellent les médias londoniens, « a suscité la colère des journalistes français, qui ont accusé l’homme le plus riche d’Europe (dans une lettre ouverte publiée par Le Monde) de vouloir priver ses collaborateurs de leur liberté d’expression. ».
Un texte dans lequel Arnault est également accusé d’être illégal, car il essaierait « pour contrecarrer les dispositions protectrices des lanceurs d’alerte ». Ainsi, résume le quotidien conservateur, « L’homme le plus riche d’Europe est parti en guerre contre les journalistes français » et avec des mots à peine plus prudents, le Frankfurter Allgemeine Zeitung ne dis rien d’autre.
« Le milliardaire Bernard Arnault interdit formellement à ses collègues de s’adresser à certains médias. Une demande insultante », écrit ce quotidien allemand, qui appuie ensuite son argumentation.
« Une médaille pour l’indépendance journalistique »
« Que les entreprises cherchent à contrôler leur communication est normal et, dans une certaine mesure, légitime, concède le journal de Francfort. Ce qui est inhabituel, c’est l’établissement de listes noires et le ton méprisant avec lequel Arnault disqualifie les titres cités, les dénigrant comme étant sites dits d’investigation“.
Une grossière erreur de la part du milliardaire, conclut le quotidien conservateur, puisque « Cette affaire va sûrement se retourner contre lui, et cette dénonciation publique d’Arnault va se transformer en médaille de l’indépendance journalistique pour les sept médias concernés. ».