Tupas plus. Créé en 2019, l’Institut polytechnique de Paris – établissement public déjà composé de l’École polytechnique, de l’ENSTA Paris, de l’Ensae Paris, de Télécom Paris et de Télécom SudParis – a ajouté l’été dernier une sixième corde à son arc en intégrant l’École des ponts ParisTech.
« Grâce à ces prestigieuses écoles d’ingénieurs, notre institut a pour ambition de rivaliser avec les plus grandes institutions d’enseignement supérieur et de recherche mondiales, telles que l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), le MIT, le Technion ou encore le California Institute of Technology », déclare Thierry Coulhon, président du conseil d’administration de l’Institut polytechnique de Paris. « L’objectif est de servir l’intérêt général et la souveraineté du pays, qu’elle soit industrielle, numérique ou en matière de défense, mais aussi de répondre aux grands défis contemporains qui touchent nos sociétés. »
La recherche au chevet des enjeux de la transition écologique
Première mission : répondre aux besoins de recherche et de formation dans le domaine de la transition écologique. S’il reconnaît l’isolement de son établissement jusqu’à présent, Anthony Briant, directeur de l’École nationale des ponts et chaussées, se réjouit d’un tel rapprochement, qui permet de « se donner les moyens en s’appuyant sur la recherche pour relever les défis de la transition écologique et énergétique ».
« Notre formation va pouvoir apporter des domaines qui étaient peu ou pas présents dans l’institut jusqu’à présent (…) Lire la suite