Cela faisait 23 ans que l’Argentine n’avait plus de pilote de Formule 1 et 42 ans qu’elle n’avait pas marqué de points au championnat du monde. Carlos Reutemann, le dernier grand nom argentin de la discipline reine du sport automobile, est décédé en 2021.
Mais l’arrivée récente sur les circuits de Franco Colapinto a ravivé la flamme. En seulement trois Grands Prix, le jeune homme né dans une famille de la classe moyenne supérieure de la banlieue huppée de Buenos Aires, a conquis tout le pays, bien au-delà du cercle des initiés.
« Il y a des personnalités qui possèdent une aura, une sorte de magnétisme tel qu’elles rassemblent tout le monde, qu’elles fédèrent derrière une idée commune et un enthousiasme positif », se réjouit du quotidien La Gaceta.
Son parcours est impressionnant : à 14 ans, il décide de se consacrer à la compétition automobile et s’installe en Italie. Après s’être fait un nom en karting, puis en F3 et F2 (l’antichambre de la F1), il décroche en septembre un baquet dans la célèbre écurie Williams, profitant des contre-performances du pilote américain Logan Sargeant.
Des résultats encourageants
« Personne n’aurait pu prédire une percée comme celle de l’Amérique du Sud.
Cela faisait 23 ans que l’Argentine n’avait plus de pilote de Formule 1 et 42 ans qu’elle n’avait pas marqué de points au championnat du monde. Carlos Reutemann, le dernier grand nom argentin de la discipline reine du sport automobile, est décédé en 2021.
Mais l’arrivée récente sur les circuits de Franco Colapinto a ravivé la flamme. En seulement trois Grands Prix, le jeune homme né dans une famille de la classe moyenne supérieure de la banlieue huppée de Buenos Aires, a conquis tout le pays, bien au-delà du cercle des initiés.
« Il y a des personnalités qui possèdent une aura, une sorte de magnétisme tel qu’elles rassemblent tout le monde, qu’elles fédèrent derrière une idée commune et un enthousiasme positif », se réjouit du quotidien La Gaceta.
Son parcours est impressionnant : à 14 ans, il décide de se consacrer à la compétition automobile et s’installe en Italie. Après s’être fait un nom en karting, puis en F3 et F2 (l’antichambre de la F1), il décroche en septembre un baquet dans la célèbre écurie Williams, profitant des contre-performances du pilote américain Logan Sargeant.
Des résultats encourageants
« Personne n’aurait pu prédire une percée comme celle de l’Amérique du Sud.