Selon le nouveau président de l’Union de la droite pour la République (UDR), Bruno Retailleau “s’est posé des questions” à l’idée de rejoindre comme lui le camp d’extrême droite.
Publié
Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Eric Ciotti compare Bruno Retailleau à l’extrême droite. L’ancien président des Républicains, qui s’est allié au Rassemblement national lors des dernières législatives, a affirmé, jeudi 26 septembre, que le ministre de l’Intérieur LR marchait dans les pas du RN. « Bien sûr qu’il dit les mêmes choses. »a déclaré sur RMC/BFMTV le nouveau président de l’Union de la droite pour la République (UDR), parti qu’il a fondé fin août.
Selon lui, Bruno Retailleau “j’avais des questions” concernant le fait de rejoindre le camp d’extrême droite comme lui. « Mais c’est à lui de le dire. »il a assuré. « Nous portions les mêmes textes », Eric Ciotti a rappelé les mesures ajoutées in extremis à la loi sur l’immigration par la droite en échange de son vote, mesures qui ont été pour la plupart censurées par le Conseil constitutionnel. Eric Ciotti a mis au défi son ancien camarade LR de « faire une réforme constitutionnelle » afin que ces mesures puissent être mises en œuvre, comme il l’avait demandé à l’époque.
Sur Europe 1/Cnews, le député Rassemblement national Jean-Philippe Tanguy a enfoncé le clou. « M. Retailleau s’inspire du programme du Rassemblement national et en général de la droite souverainiste dont il est issu »dit-il. Mais, il a précisé, “dans ses actions”le ministre de l’intérieur « a toujours trahi ses familles politiques ». « Il a trahi Philippe de Villiers, il n’a jamais eu le courage de s’opposer à Emmanuel Macron aux élections présidentielles en soutenant Marine Le Pen »il a énuméré.
“Il s’est toujours caché dans les moments politiques difficiles et a toujours voulu avoir le beurre et l’argent du beurre, à savoir les intérêts du système, les bonnes places dans le système (…) et les propositions du Rassemblement national pour être populaire auprès des électeurs qui veulent rétablir la sécurité publique.”il a résumé.
Selon le nouveau président de l’Union de la droite pour la République (UDR), Bruno Retailleau “s’est posé des questions” à l’idée de rejoindre comme lui le camp d’extrême droite.
Publié
Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Eric Ciotti compare Bruno Retailleau à l’extrême droite. L’ancien président des Républicains, qui s’est allié au Rassemblement national lors des dernières législatives, a affirmé, jeudi 26 septembre, que le ministre de l’Intérieur LR marchait dans les pas du RN. « Bien sûr qu’il dit les mêmes choses. »a déclaré sur RMC/BFMTV le nouveau président de l’Union de la droite pour la République (UDR), parti qu’il a fondé fin août.
Selon lui, Bruno Retailleau “j’avais des questions” concernant le fait de rejoindre le camp d’extrême droite comme lui. « Mais c’est à lui de le dire. »il a assuré. « Nous portions les mêmes textes », Eric Ciotti a rappelé les mesures ajoutées in extremis à la loi sur l’immigration par la droite en échange de son vote, mesures qui ont été pour la plupart censurées par le Conseil constitutionnel. Eric Ciotti a mis au défi son ancien camarade LR de « faire une réforme constitutionnelle » afin que ces mesures puissent être mises en œuvre, comme il l’avait demandé à l’époque.
Sur Europe 1/Cnews, le député Rassemblement national Jean-Philippe Tanguy a enfoncé le clou. « M. Retailleau s’inspire du programme du Rassemblement national et en général de la droite souverainiste dont il est issu »dit-il. Mais, il a précisé, “dans ses actions”le ministre de l’intérieur « a toujours trahi ses familles politiques ». « Il a trahi Philippe de Villiers, il n’a jamais eu le courage de s’opposer à Emmanuel Macron aux élections présidentielles en soutenant Marine Le Pen »il a énuméré.
“Il s’est toujours caché dans les moments politiques difficiles et a toujours voulu avoir le beurre et l’argent du beurre, à savoir les intérêts du système, les bonnes places dans le système (…) et les propositions du Rassemblement national pour être populaire auprès des électeurs qui veulent rétablir la sécurité publique.”il a résumé.