Chaque dernier dimanche d’avril a lieu la Journée nationale à la mémoire des victimes de la déportation. Alors que les derniers témoins disparaissent, une page se tourne. Ceux qui rendaient visite aux étudiants sont de moins en moins nombreux, ce qui nous amène à réfléchir à d’autres manières de leur parler pour garder intacte cette mémoire.